« Quand même les deux mondes seraient tout à coup anéantis, il ne faudrait pas nier l’existence d’un seul grain de sable de la terre. S’il ne restait aucune trace, ni d’hommes, ni de génies, fais attention au secret de la goutte de pluie. » Farid al-Din Attar, cité par Philippe Jaccottet L’encre serait de l’ombre (p.353)
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