tu savais que le temps se cachait dans le battement de tes cils, mais ne pouvais que demeurer ainsi, et enclos en toi-même, comme un arbre veillant le silence de ses blessures Michel Diaz , Quelque part la lumière pleut , p. 13 (le titre vient d’un poème de Silvaine Arabo ) on n’écrit rien avec le rien, même en lisant dans son miroir ce vide qui s’étonne, ni rien non plus avec ce qui s’épuise à lutter contre l’ombre Quelque part la lumière pleut , p. 25 mais surtout j’écoute le vent, j’écoute les murs, j’écoute les âmes Quelque part la lumière...
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