Voyageuses, ces pages, car métisses. Ancrées ici, héritières, parfois, de divers ailleurs. Ou ancrées ailleurs, et lançant des fils de mots vers nous. Ou, aussi, ayant simplement le goût du lointain, de la traversée nécessaire des frontières, réelles ou imaginaires. Proximité, par ces écritures sur la Toile, immédiateté du partage. Mais la lecture patiente des livres peut suivre l’approche instantanée. On sort de notre quartier mental, et ces mots modifient notre identité, pour l’enrichir de conscience. Goût du lointain. Recherche de ce qui pourrait nous échapper. Regard porté sur...
Tag > web
« Si j’avais à écrire ici un livre de morale, il aurait cent pages et 99 seraient blanches. Sur la dernière j’écrirais : ‘’ Je ne connais qu’un seul devoir et c’est celui d’aimer.’’ » Albert Camus, Carnets (passage cité aussi, expo et livre, « Albert Camus citoyen du monde ») « La pensée d’Albert Camus est un héritage vivant, ses mots résonnent toujours d’une vérité toute...
Plus de notes disponibles.