L’Intranquille, de Gérard Garouste. En exergue, Rabbi Nahman de Bratslav
20/11/2011
« Ne demande jamais ton chemin à celui qui le connaît. Tu risquerais de ne pas t’égarer. »
Rabbi Nahman de Bratslav
« L’Intranquille », sous-titre : « Autoportrait d’un fils, d’un peintre, d’un fou », de Gérard Garouste, avec Judith Perrignon, éd. L’Iconoclaste, 2009, et Livre de Poche, 2011. Livre dédié à sa femme Elisabeth.
Gérard Garouste, peintre : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Garouste
Le LIVRE. Fiche decitre.fr : http://www.decitre.fr/livres/L-Intranquille.aspx/9782253156741
Olivia de Lamberterie, Elle : « L’Intranquille est un livre triste et admirable » (citée sur la 4ème de couverture)
Paris-Art.com : http://www.paris-art.com/editeur-design/l-intranquille-autoportrait-d-un-fils-d-un-peintre-d-un-fou/garouste-gerard/2510.html (« L'Intranquille est le premier récit personnel de Gérard Garouste, artiste internationalement reconnu. Ses oeuvres sont exposées dans les plus grands musées du monde. ». Avec une partie du résumé publié sur la 4ème de couverture. Début : « Je suis le fils d'un salopard qui m'aimait. »). Cette phrase, citée là, est une clé bouleversante pour entrer dans ce livre, ce témoignage, cette œuvre : complexité des êtres et de l’affectif.
Interview de Judith Perrignon (coauteur du livre), sur le site de l’éditeur, L’Iconoclaste : http://www.editions-iconoclaste.fr/spip.php?article1336
« "L'Intranquille. Autoportrait d'un fils, d'un peintre, d'un fou", de Gérard Garouste : Garouste, l'horreur des origines », par Philippe Dagen, Le Monde des Livres, 07-05-09. (Mise à jour : lien inactif). Citations : « De Gérard Garouste, on sait qu'il est un peintre français né en 1946 et que sa peinture, depuis les années 1980, va si fortement à contre-courant des tendances issues du minimalisme et du conceptuel qu'elle est tenue pour emblématique de ce que l'on nomme tantôt retour à la figuration, tantôt postmodernisme. Aujourd'hui, Garouste peint des scènes fabuleuses et énigmatiques et des portraits » (…) « Aussi la parution de L'Intranquille, sous-titré Autoportrait d'un fils, d'un peintre, d'un fou, sa première prose, surprend-elle. Qu'est-ce que Garouste peut avoir à écrire ? Des histoires d'atelier ? Non. Des réflexions sur la situation actuelle de l'art ? Très peu. La peinture et le dessin ne sont pas absents. Mais ce qui fait la force et l'intérêt exceptionnels de L'Intranquille, c'est ce que Garouste y révèle de son histoire et la clarté résolue et calme avec laquelle il le révèle - sans aucun pathos, sans masochisme non plus. »
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro, 20-10-2011 (Rubrique Les Poches du jour) : http://www.lefigaro.fr/livres/2011/10/20/03005-20111020ARTFIG00823-gerard-garouste-autoportrait-d-un-intranquille.php (« Peu d'auteurs savent recueillir avec autant de talent et de sensibilité les confidences. Question d'écoute. Judith Perrignon a tendu l'oreille à Gérard Garouste. »)
Rubrique « Faites-vous des Poches », Le Point, par Marine de Tilly, 10-10-2011 : http://www.lepoint.fr/livre/l-intranquille-autoportrait-d-un-fils-d-un-peintre-d-un-fou-de-gerard-garouste-avec-judith-perrignon-10-10-2011-1382831_79.php (« Ce petit livre sombre, profond et d'une sincérité désarmante raconte tout cela : l'enfance, l'antisémitisme et la folie, aux trousses d'un immense artiste. »)
Blog de Vanessa Curton. Livres coups de cœur. Lecture de L’Intranquille. (Mise à jour : lien inactif...). Citation : « Regard sur ce père qui vient de mourir et son antisémitisme effréné. Gérard Garouste s'est construit en rupture, comme un cri, avec cet enfant au creux de lui et cette ferveur de "peindre jusqu'à l'épuisement". En rupture aussi avec ses contemporains. Tandis que ceux de son âge cherchaient à faire des performances, à provoquer, lui, il "cherchait le chaos des poudres" sur une toile préparée à l'ancienne, choisissait l'érudition et trouvait peu à peu son langage. »)
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