L’introduction de Jean-Claude Tardif rappelle les publications récentes hors revue, dont plaquettes de poésie, comme celle de Werner Lambersy . Il insiste aussi sur la place donnée aux traductions. Il regrette l’invisibilité générale de la poésie, qui a cependant les revues pour refuge (elles-mêmes survivant parfois difficilement). Après mon parcours de lecture (sélectif et subjectif) je reprendrai mes commentaires antérieurs du frontispice d’ Yves Barbier et du texte de Jean-Pierre Chérès en 4ème de couverture (repères permanents qui disent une conception de la poésie).
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"Pour moi le poète n'est qu'un instant, une fugacité, un mot égaré qui nous grandit, nous fait advenir. La seconde d'après il redevient vulgum pecus, factotum, quidam et citoyen ; homme ordinaire dans une vie qui l'est tout autant. C'est cet instant, ce souffle court qui le travaille, le taraude et le projette brièvement ailleurs qui le fait et le gardera poète." Jean-Claude...
Sortie du numéro 36, et retour sur le 33... Le numéro 36 est sorti en juin, riche de nombreux textes, près de 200 pages de poèmes et nouvelles. Dans l’éditorial, Jean-Claude Tardif...