Je relis le recueil de poèmes de Jim Harrison. Le lisant j'ai un peu l'impression de vivre ce qu'il dit, lui, de sa lecture de Su Tung p'o. Il lit un auteur mort et lui parle comme il parlerait à son père. Je lis Jim Harrison et je dialogue avec un ami mort (en 2016), jamais rencontré. Il fait le récit de souvenirs et de moments présents, il confie des pensées intimes, des peurs et des joies. La nature est omniprésente, paisible ou très sauvage. Les animaux, chiens, oiseaux (beaucoup...), ours, serpents... Des êtres rencontrés, des humbles, des auteurs. Il évoque le zen,...
Tag > jim harrison
Plus de notes disponibles.