L’introduction de Jean-Claude Tardif rappelle les publications récentes hors revue, dont plaquettes de poésie, comme celle de Werner Lambersy . Il insiste aussi sur la place donnée aux traductions. Il regrette l’invisibilité générale de la poésie, qui a cependant les revues pour refuge (elles-mêmes survivant parfois difficilement). Après mon parcours de lecture (sélectif et subjectif) je reprendrai mes commentaires antérieurs du frontispice d’ Yves Barbier et du texte de Jean-Pierre Chérès en 4ème de couverture (repères permanents qui disent une conception de la poésie).
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