03/07/2020
Aziz CHOUAKI, Les oranges. Ou le parcours poétique d'années algériennes par un humaniste camusien...
Attendre, que le sang sèche, comme l’encre, puis écrire, avec le vent, avec les arbres, des feuilles simples et splendides, pour dire le vœu, l’œuf le mot, la pastèque de Camus, le mètre cube de terre, le chant de Rosina, la grande et puissante symphonie des oranges. Celle qui, partout et nulle part, dit le cercle parfait. Le témoin a avoué, la plaque de la rue a été retrouvée. Le voleur c’est un gars des nouvelles cités. Le match est fini, ceux d’en bas ont gagné, bravo les gars. Quant à moi, je crois que je vais descendre me faire une bonne petite belote....