J’ai faim d’abîmes / Et des oiseaux muets tombent / tout doucement / Sur le monde… (p. 19) J’ai le visage d’un grand brûlé dans son habit de cendre (p.27) Parfois aussi / il coupait les mains des sources / et on le retrouvait / dans l’arbre à feu (Gaspar, p. 32) Qui ramassera les ombres ? / qui ramassera les noms ? /qui lavera la terre de tous ses bourreaux ? (p. 39) Sur une croix de bois // rejetée par la mer /// On peut lire en trois langues : / en arménien, en hébreu et en grec / "SI VASTE D’ÊTRE SEUL........ !" (P.75) ...
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