Mortel printemps… Si doux.
22/03/2017
Mortel printemps… Si doux, annonciateur d’encore plus de douceur. Mais signe de l’éphémère. Tourne le temps, viennent les fleurs, le rose, une autre lumière.
Mortel, au sens de fort, passion de vie, savoir de mort. Instants de parfums, de silence contemplatif, de rêve, pourquoi pas?
Paradoxe de ces joies qui sont contemporaines des douleurs voisines ou lointaines… La beauté est là, tranquille, mais tout peut exploser, si passe un fou d’une haine ou d’une autre. Et les fleurs sont aussi ailleurs, entre les pierres, malgré les persécutions, les exécutions, les bombes…
Alors on choisira le grand écart permanent. On militera, on écrira, on méditera…
Regardant les arbres et la lumière d'un jardin.
Les commentaires sont fermés.