J’ai vu les deux pièces, Tenir jusqu’à l’aube et L’exploitation à la cool . Choix d’y aller parce que c’est El Ajouad , la compagnie de Kheireddine Lardjam , dont j’ai aimé tout ce que j’ai vu de ses mises en scène. Je l’avais découvert en apprenant sa création des Justes de Camus en Algérie, il y a des années. Puis j’avais vu (et revu, tant c’est fort) End/igné , adaptation d’un texte de Mustapha Benfodil sur la tragédie de jeunes Algériens qui s’immolaient en se suicidant par le feu (on a plus su le cas du suicide d’un jeune Tunisien de cette manière). Terrible et...
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Dans une note sur la revue L’Intranquille , au sujet d’un entretien de l’éditrice avec un artiste triple (photo, écriture, son), j’abordais récemment cette question des interférences entre les pratiques plurielles. Certains créateurs ne le sont que d’un art, soit pour n’en maîtriser aucun autre, soit pour craindre la concurrence intérieure qu’ils vivraient à se partager entre deux ou...
Entre l’ombre , et Pardon pour l’aurore Les deux recueils de Bruno Thomas en suivent deux autres, plus anciens, publiés chez le même éditeur, Le Nouvel Athanor , en 1993 et...