Livres de Jean-Luc Maxence. Anthologies et recueils
13/07/2022
Deux ouvrages pour découvrir, ou redécouvrir, le poète (qui est aussi essayiste et éditeur…).
Soleils au poing, Le Castor astral, 2011 (anthologie 1968-2010), et Tout est dit ?, Le Nouvel Athanor, 2020.
Soleils au poing… Titre qui ressemble bien à son auteur. Solaire en poésie, dont il est, pour lui et pour tant d’autres, une sorte de chaman passeur. Solaire dans le rapport avec ses interlocuteurs, cœur ouvert. Soleils… Ne se contentant pas d’un seul soleil, il lui faut le feu du pluriel.
Au poing, bien sûr, pour celui qui est un intégral rebelle, au point de vouloir combler le manque de parole critique (et complexe) en créant un magazine au titre manifeste, Rebelles.
Ce pourrait être un frère d’Erri De Luca, en parole contraire… et de Tristan Cabral, en poing dressé avec amour.
Savoir dire NON aux multiples douleurs dans la réalité sociale, autant qu’il dit OUI à la vie, à l’esprit, et à la poésie (celle qu’il écrit, celle qu’il publie – édition et revue).
Sa poésie se révèle comme univers d’une pensée libertaire, ancrée sur un savoir analytique et une conscience sociale. Conscience d’initié, aussi, capable de regarder avec un œil critique les codes des mondes qui l’enrichissent spirituellement, sans jamais l’aliéner ni le soumettre. Et la seule fidélité qu’il puisse leur concéder c’est celle à sa propre vérité.
Patrice Delbourg titre sa préface avec un point d’interrogation…
Un Max Jacob soixante-huitard ?
Sans doute pour faire écho au premier texte, sur mai 68, que Jean-Luc Maxence évoque en adhésion maintenue à l’élan de cette période. Et l’associant au poète Max Jacob il marque ainsi un lien avec l’élan mystique du poète (qui entraîna sa conversion). Politique et spiritualité. Mais un point d’interrogation car on ne met pas Jean-Luc Maxence dans des cases...
Mais le préfacier, qui le connaît depuis longtemps (pour avoir eu son premier recueil édité par lui - et avoir vu, d’une édition à l’autre, leurs itinéraires littéraires souvent se croiser), insiste surtout sur le parcours d’auteur et d’éditeur. Et il ne manque pas de noter le sens alchimique du terme athanor (pour Le Nouvel Athanor…), considérant que cela traduit bien ce qu’est le laboratoire fiévreux de création poétique, avec, notamment la ferveur.
Il n’oublie pas le psychanalyste qu’est Jean-Luc Maxence, le thérapeute de jeunes toxicomanes, l’auteur écrivant sur Jung. Patrice Delbourg est moins proche de lui pour tout ce qui concerne l’attrait pour la spiritualité, gardant lui une distance critique qui l’éloigne des mystiques et lecteurs des mystiques. Mais cette dimension, est constitutive d’une part essentielle de ce qui fait penser et écrire Jean-Luc Maxence.
Mais j’aime que Patrice Delbourg constate que, au-delà de multiples désaccords et divergences il ne saisit pas tout de celui qui reste pour lui difficile à capter, et qu’il trouve une belle formule pour le caractériser, boule de mercure au creux de la paume. Et j’aime aussi que, s’associant à lui, il dise nous pour se voir, avec lui, « vieux clochards de vingt ans » et « bardes mendiants » sur la marelle du quotidien, un pied dans la révolte, l’autre dans l’imaginaire. (il reprend là – dans deux poèmes différents et éloignés dans le temps par huit années - deux expressions dans deux vers de Jean-Luc Maxence, en les mettant au pluriel)
En 4ème de couverture, avec le rappel de certains de ses titres (dont l’essai sur Jung chez Dervy, ou l’Anthologie de la poésie mystique contemporaine aux Presses de la Renaissance) on trouve les éloges de Pierre Seghers et Louis Aragon, réagissant à ses premiers textes publiés, son premier recueil, Le ciel en cage (1969).
Le premier poème, 1970, évoque la mort, qui serait, alors, un renoncement.
Si je quitte ma vie comme on glisse à la mer
Parole d’écorché vif dans la vérité d’un aveu de lassitude ou de doute, peut-être la tentation, ou le risque d’un enfin sans retour…
En 1972, Au temple le fait héritier de la colère de Jésus contre les marchands et le mensonge des cierges Prisunic.
Effacer les paysages ridés de l’enfance. 1972 encore. Un programme à l’infinitif. Pour refuser les lieux où l’âme se dissout et trouver un silence qui prie plus qu’il ne parle. Avec la mort comme horizon une fois que le dépouillement libérateur serait accompli, et surtout s’il ne l’est pas, si les déraisons entravent. Ce qui passe par un processus liquidant ces rides que peuvent être des empreintes qui appartiennent plus à de vieilles mémoires qu’au présent.
1973. Rue de la Gaieté, c’est la tristesse… Car la réalité sans joie qui se donne à voir, et ses artifices, cela se vit en écœurement. Peu d’espoir.
C’est la peine pour les êtres perdus croisés, ainsi un jeune beatnik éthéromane. L’empathie est une douleur.
J’attends en vain
Le divorce des étoiles
1974 à 1976. Poèmes d’amertume. La vie est une toile (…) À dominante sang
Demeure le sentiment d’être habité par les mémoires des blessures (de soi, des autres, celles qu’on aurait causées – Les coups donnés les coups reçus) et les effets dévastateurs sur la cohésion intérieure.
Je suis en instance d’éclatement
Et l’atteinte touche la poésie même, impression d’être privé d’un accès à ce qui nourrit le poème.
Plus de rêve ni d’image
La détresse est sociale autant que personnelle. Pas seulement sociale, une conscience collective qui imprègne, et révèle un vide existentiel.
Je porte la tristesse des temps
Le poids des douleurs humaines… et le désir de retrouver le goût de vivre, en pouvant aimer. (Les désirs et les amours de la jeunesse sont une dimension inséparable de ce qui fait le terrain des émotions négatives ou positives).
1980 à 1989. Quelque chose change, dans la perception du monde et de soi.
Écrire pour revivre. L’écriture telle qu’en son alchimie, et les failles inscrites mais posées à l’imparfait, ce qui montre une distance nouvelle prise avec ce qui blesse. Et émerge une dynamique, malgré les désastres des nuits, et grâce à la prise de conscience d’une conduite d’échec (affectif ou psychologique – avec autrui ou avec soi).
J’avais tordu la clé du labyrinthe
Mais le savoir et l’inscrire est une inversion du regard et des perspectives, pour ce qui peut être.
Un bilan de vie en prose, sans masque, met d’un côté ce qui est Fracas et furie, et de l’autre un certain sens du grand large. Soi, vautour (passé) ou saint (rêvé). Mais, surtout, mystère d’arcane prêt à s’ouvrir.
Car ce qui s’éveille en soi est le produit de l’ombre autant que de la lumière. Ce qui compte c’est l’itinéraire et la prise de conscience de ce qui se déroule, et vers quoi…
Même si des doutes et des tristesses demeurent, et la rage contenue.
Le métro ce matin menait à la mer
Et la mer était noire
Perte spirituelle, dans le mal-être, même momentané.
Je n’avais plus de cathédrale dans le cœur
Mais la poésie est là, elle. Avec son rythme, ses images (qui aiment heurter des métaphores en les mêlant aux faits bruts du réel, rapprocher du rêve et du trivial – ce qui renforce l’effet). Le style, fait de ces heurts signifiants, participe d’un processus qui n’est pas que littéraire, mais que l’écriture, dans ses procédés non artificiels, amplifie et magnifie. La poésie est aussi pratique analytique, en inscrivant rêve et cauchemar en mots.
Le travail souterrain qu’on a commencé à voir s’écrire aboutit à une parole délivrée. Deux textes en prose, qui se font face, sont révélateurs de cette montée en conscience. Pages 48 et 49. Dire un traumatisme fondateur autant que destructeur et commencer une thérapie analytique fut l’ouverture des portes qui étaient peut-être fermées, ou la récupération de la clé du labyrinthe (d’un poème antérieur). Jean-Luc Maxence a le courage de la parole nue, déjouant les dénis. Il sait la force des mots qui mettent dehors le réel meurtrier. Il jette aux orties le secret et les masques.
Prélude, en prose, raconte la bascule que créa une première séance de sa propre psychanalyse. Texte dédié à Xavier Audouard, son analyste.
Au premier aveu, la terre entière se mit à virer de bord.
Les questions peuvent s’exprimer aussi. Comme dans Voyage en évangile noir (le poème a le titre d’un recueil de 1983).
De quel délire m’a-t-il fallu revenir ?
De quelle peine immense ?
1989. Baisers sans âge, le poème dit l’écriture à faire advenir à deux, de ce qu’est l’amour,
quoi qu’il advienne.
1999. Éditeur des étoiles. Magnifique façon de nommer un destin de poète, cette aventure de barde éventré sexué caressant le nombril du monde et parlant aux étoiles…
2007 à 2010
L’amour, la planète, la mort des autres, le bout tout au bout (de tout).
Défier, pour l’amour, le temps et les rides…
Marions-nous cet été
Marions-nous jusqu’à la mort !
Et savoir être, malgré les épreuves communes, mais dans la tendresse, Infailliblement heureux / Tant que tu es là
S’interroger, planète, sur ce que sera le temps futur (Écologie).
Et dire une sorte de sérénité rendant capable de penser l’escale finale de toute vie, et le sens de ce qui est réalisé.
Enfin, pouvoir titrer encore un poème Aveu d’amour…
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Tout est dit ?, 2020, Le Nouvel Athanor
Ouvrant le livre (de nouveau, et je retrouve au fil des pages mes traces discrètes de crayon qui marquaient déjà des vers et des pages…) je suis impressionnée par la liste des essais publiés de 1977 à 2017, chez divers éditeurs. Livres en prolongement, plusieurs, de sa pratique de thérapeute (analyste), essais sur des sujets ésotériques, ou sur la franc-maçonnerie. Et, bien sûr, la poésie, comme le Seghers sur Jean Grosjean.
Plusieurs anthologies, dont L’Athanor des poètes (avec Danny-Marc) et l’Anthologie de la poésie mystique contemporaine. Préfacier et éditeur de l'anthologie émotiviste de Christophe Dauphin, Les Riverains du feu. (Je ferai plus tard une note sur plusieurs de ces anthologies).
Cinq romans.
Pour sa poésie ce recueil ne mentionne que l’anthologie de 2011, Soleils au poing (1968-2010). Et c’est dans l’anthologie qu’il faut chercher la liste de huit autres recueils (dont celui de 1970, Le Ciel en cage, à 2002). Un nombre de publications qui évite l’accumulation excessive de titres qu’on voit pour certains auteurs. Car si l’écriture des essais est d’abord une entreprise intellectuelle qui se mesure à la force de travail, seule limite, l’écriture de la poésie est d’un autre ordre, celui qui obéit à une radicale nécessité intérieure et se réalise en état de poésie. (Ce qui signifie, pour moi, une connexion, en soi, à la part la plus haute de la conscience, tant spirituelle que linguistique et émotionnelle, dans un espace qui est celui, paradoxalement, du silence, le même que dans la méditation. Là peut émerger une parole authentique). Que reste-t-il du Sens ? interroge Jean-Luc Maxence en tête de la préface qui introduit L’Athanor des poètes. Et voilà la clé. Le Sens, mais avec majuscule. Tout le reste est bavardage stérile. (Et c’est cette exigence de profondeur, qui fait parler l’âme plus que le seul intellect, qui m’a fait reconnaître avec enthousiasme, chez les deux éditeurs des Cahiers du Sens et les poètes autour d’eux, donc ici chez Jean-Luc Maxence, un lieu de poésie véritable).
Lui ne se laisse pas piéger par du bavardage, ne cherche pas à remplir les rayons mais à créer une écriture où silence et cri partent de la même source.
Le lisant on sait que cette dimension, cet état poétique, est dans toutes les pages. Y compris quand on sent que l’énergie qui fait jaillir les mots vient de la colère, d’une rage.
Même s’il offre de temps en temps des préfaces, et en a accepté parfois, pour lui, là, il n’en a pas voulu. Il l’explique dans son bref avant-propos. Par refus absolu de toute forme de mondanité poétique.
Il sait avoir été reconnu, comme poète, par des noms prestigieux (comme Aragon, Seghers, Alyn, Laude…), mais il dit aussi qu’on ne peut savoir ce que le temps fera d’une œuvre, et qu’il ne veut pas penser à ce qu’il adviendra pour la sienne, quand il ne sera plus.
Que restera-t-il alors de ce Jean-Luc Maxence que j’ai tenté d’être ?
Et donc, ce recueil…
Construit en boucle, de l’idée de la mort à l’idée de la mort. Deux premiers poèmes, Interdiction de mourir, puis Peur bleue noire, et Disparaître, dernier poème.
Premier poème dédié à son épouse (à D.-M.). Superbe déclaration en écho à la sienne (le recueil, voir la note précédente). Ode à la beauté de l’âme et du sourire et litanie amoureuse faisant le compte des vécus successifs. Chant rythmant la fin des strophes avec un vers en majuscules.
JE T’INTERDIS DE MOURIR.
Deuxième poème pour un questionnement qui se prolonge sur une page, inquiétude (ou angoisse sourde, Mon poème a le mal de mer (à la pensée de la mort qui sépare..).
Où serons-nous l’été prochain mon vieil amour ?
Le dernier poème, au contraire, évoque sa propre disparition, sans écho tragique, avec seulement une nostalgie, de penser à l’adieu aux autres. Une sorte de douceur qui oscille, hésite, entre vertige du Sacré / Triomphe de mes peurs et mutisme des nuages.
Autre poème, SPIRIT-BAR… Souvenir de leur première rencontre, quand Danny-Marc chantait la mort des fusils et des guerres… Et... je ne savais même pas son nom. Il ne savait pas que la retrouvant dix ans après, ce serait le bruit formidable de la première vague. Car, alors…
Il n’était pas temps de la connaître et de l’aimer
C’est en quelque sorte un poème sur le destin, les signes du hasard, les vies qui se croisent, les êtres qui ne se reconnaissent pas encore, mais dont quelque chose, venant du sens mystérieux de la vie, a posé un signe sur leur chemin.
De nouveau la crainte de la perte.
Ne t’en vas pas. Anaphore, supplique, trois fois.
Il a repris (autres pages) le poème de 2007, Marions-nous, car il est celui du défi lancé à la vieillesse et à la mort.
Pour défier le temps et les rides
Mais toujours le monde reste présent, ses horreurs (terrorisme) et ses hypocrisies et trahisons intéressées (Salon du livre…). Ou, poème Rio dans la brume, le regard sur des enfants, empathie (Ô gosses nus des favelas). Car les peurs et bonheurs personnels n’effacent pas le souci du monde, ni la vision des traces des catastrophes, comme, à New York, le vide de Ground Zéro sans ses deux tours, et une métaphore qui n’en est peut-être pas une, de ces âmes qui... voyageaient au-dessus de nous deux. Pensée des morts dans la présence ressentie d’une mémoire du lieu. Autre poème, évoquant l’histoire, et le Rwanda comme symbole de tragédies renouvelées, et de ce qui motive tout chant de révolte et... colère antique.
Spiritualité, quatrième axe de vie et d’écriture (avec l’amour/l’aimée, et le monde/le réel social et historique, et l’être-poète/soi/les mémoires traumatiques/). L’appel vers le sens.
Dans L’aube première c’est le désir de Dieu (associé à la Lumière) qui s’inscrit (le terme Dieu pouvant signifier plus que le Dieu des religions, un sens transcendant qu’on pourrait saisir). Désir qui ne veut pas dire forcément croyance (sauf dans certains poèmes…), mais volonté de détruire l’Obscur d’âge en âge, et de voir se lever une aube éternelle. Quelles que soient les épreuves personnelles et les malheurs du monde, ce qui fait tenir debout c’est cette constance d’un appel à plus de sens, la vie de l’âme passant aussi par le corps. Évocation du za-zen et d’une prière …force de frappe /Contre la nuit. Mais l’élan spirituel se heurte aussi à l’indifférence universelle des nuages.
Ses textes défient volontairement la chronologie. Mais la parole au père pour décrypter la complexité de ce dont on hérite (ou pas) de qui on vient, est suivie, plus loin, par l’adresse au Bonhomme issu de nous, pour un message de grande liberté.
Alexis
N’écoute personne
Ne crois pas
N’écoute que le vent
Ne cherche qu’en toi-même
La route ascendante
En miroir sombre, la mémoire d’une blessure ayant toujours besoin de se dire. Même si la question titre semble avoir rencontré un aboutissement intérieur. Mais ce qui se dit c’est aussi la poésie elle-même, son accomplissement.
Parmi les derniers poèmes du recueil deux ont une densité particulière, le Long poème pour une bonne tenue, et le Psaume de réconciliation finale.
Il est, lui, celui qui frappe à la porte d’un Temple, le mystique insomniaque. Le mystique et l’amant ne sont pas séparés, ni le mystique et celui qui se souvient de blessures et de rencontres. Le poème du Psaume répond à celui qui précède. Il frappait à la porte. Et là un voile se déchire. J’ai compris que la porte était dans ma tête / Et la lumière avec / Jusqu’à la fin de mon temps. Il mentionne une initiation sans fin, mais on peut comprendre que ce peut être à la fois des apprentissages vécus (Temple…) et ce que les expériences et les souffrances apprennent (vie initiatrice…). Ce Psaume est une réconciliation aussi avec soi, même si demeurent des questions et ce sens du temps…
Il se fait tard sur ma vie
(…)
Il se fait tard sur mes poèmes
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Auteur et éditeur de plusieurs anthologies (en plus des 30 ans d'anthologies permanentes dans Les cahiers du Sens,avec Danny-Marc).
Au Nouvel Athanor (certaines avec Danny-Marc)... L'Athanor des poètes, Les Riverains du feu (par Christophe Dauphin), Poètes français et québécois...
Aux Presses de la Renaissance... Anthologie de la poésie mystique contemporaine, Anthologie de la prière contemporaine...
Il est aussi présent, comme auteur, dans des anthologies diverses. Comme celle de Castor astral, qui a voulu regrouper, pour un panorama littéraire, les auteurs publiés par cette édition. Ce qui est écrit change à chaque instant / 40 ans d'édition, 101 poètes..
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Recension © MC San Juan
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LIENS…
Soleils au poing, Le Castor astral… https://www.castorastral.com/livre/soleils-au-poing/
Tout est dit ?, Le Nouvel Athanor, page Soleils diffusion… http://www.soleils-diffusion.com/article.php?isbn=9782356...
Anthologie 1991-2011. L’Athanor des poètes (avec Danny-Marc), Le Nouvel Athanor, 2011... http://www.soleils-diffusion.com/article.php?isbn=9782356...
Créateur de Rebelles (avec Danny-Marc), il y écrit aussi. Chroniques et textes personnels… Dont…
Février 2022, éditorial. L’art peut-il encore influencer le monde ?... https://rebelles-lemag.com/2022/02/15/editorial-a-contrar...
Mars 2020. Rebelles et l’ésotérisme. Comprendre d’intuition l’ésotérisme… https://rebelles-lemag.com/2020/03/27/sans-esoterisme-reb...
Août 2018, Le scandale de la diffusion de poésie… https://rebelles-lemag.com/2018/08/07/le-scandale-de-la-d...
Et, son autre écriture dans Rebelles. Mémoires démasqués… ch.7. Juin 2022… https://rebelles-lemag.com/2022/06/15/memoires-demasques-...
Co-éditeur (avec Danny-Marc), Le Nouvel Athanor (et revue Les Cahiers du sens).
Les Cahiers du Sens, entrevues.org… https://www.entrevues.org/revues/cahiers-du-sens/
Édition. Catalogue Le Nouvel Athanor. Publications, voir le site de Soleils diffusion (mais commandes en librairie)… http://www.soleils-diffusion.com/id_athanor.php
Et dépôt permanent des livres de l'édition, librairie L’Autre livre… https://www.lautrelivre.fr/
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... Anthologies, Presses de la renaissance...
Recension, ici. Les Cahiers du Sens n° 30. Le silence… (le dernier numéro). Autres recensions (tag Les cahiers du Sens)… http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/08/26/po...
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Voir une sélection de titres du catalogue du Nouvel Athanor, en complément de la recension des recueils de Bruno Thomas, même édition. Note suivante...
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