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17/04/2011

Sur l’assassinat de Juliano Mer-Khamis, tragédie récente (Cisjordanie, avril 2011), et sur trois autres meurtres : Hrant Dink (Turquie, 2007), Shahbaz Bhatti (Pakistan, mars 2011), Vittorio Arrigoni (Gaza, avril 2011)

Une des plus tristes nouvelles du début du mois a été ce message entendu à la radio, puis repris et commenté par la presse : le 4 avril, assassinat de Juliano Mer-Khamis (Le Monde, dans sa page « Disparitions » du 07-04-11, titre, avant son nom « Acteur et réalisateur arabe-israélien… ». Même si l’article mentionne sa mère juive et dit bien l’itinéraire et l’action de l’homme, le titre est réducteur. Car un arabe israélien c’est quelqu’un dont l’identité est d’être arabe d’origine (et cela peut être de mère et de père) et israélien de citoyenneté.  Richesse identitaire, aussi, mais pas la même.

100% Juif, 100% Palestinien. C’est ainsi que ce militant pour la paix, acteur et metteur en scène, se désignait lui-même, revendiquant sa double appartenance (mère juive israélienne, Arna Mer, et père palestinien de Nazareth, Saliba Khamis). Sans contradictions ni conflits intérieurs. Etre, tout simplement, militer pour la paix, notamment en animant un théâtre (Le Théâtre de la Liberté), et en suivant ainsi des jeunes. Sa manière d’intervenir à Jénine (camp de réfugiés au nord de la Cisjordanie), ne tenant pas compte des menaces des extrémistes, gênait les intégristes (qui ne supportaient pas sa façon de transgresser d’évidence les codes plus que normatifs des fondamentalistes). Cette liberté avait entraîné des menaces, et il avait été déjà agressé. Craignait-il alors pour sa vie ? Sans doute : en tout cas il la prévoyait. Mais rien ne lui fit renoncer à ce nécessaire investissement. Son désir d’une lutte par la culture, d’un renversement des valeurs qui aboutisse à la paix s’appuyait sur la conviction qu’étaient déjà présents les germes de cette construction d’une génération libre. Malgré le désespoir, malgré le drame de certains destins. Voir Les Enfants d’Arna, le film sur sa mère et son action avec les enfants de Jénine : http://www.dailymotion.com/video/x596fh_palestine-les-enfants-d-arna-julian_news  (vidéo 1/6 : les autres vidéos sont en marge sur la même page, pour le film complet, documentaire sous-titré qu’il faut regarder complètement pour en saisir tout le sens…).

L’acteur-réalisateur a été abattu de cinq balles.  « Un symbole israélo-palestinien assassiné à Jénine » titre le blog de Gilles Paris, journaliste au Monde : http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2011/04/04/un-symbole-israelo-palestinien-assassine-a-jenine/   Non, pas le symbole, l’homme, dit un commentaire. Effectivement : serait-ce comme si sa vie n’avait plus la même portée, le même sens ? L’homme a été tué, c’est tragique, terrible, mais le symbole demeure, ses traces feront leur œuvre plus ou moins souterrainement. Cependant on peut comprendre le titre autrement : le symbole vivant qu’était cet homme n’est plus là, ce qui ne veut pas dire que le sens en soit enfui. Jacques Benillouche, journaliste israélien, titre aussi sur son blog, « La mort d’un symbole » : http://benillouche.blogspot.com/2011/04/la-mort-dun-symbole-djenine.html

 On ne sait pas encore qui l’a tué (un suspect semble avoir été arrêté : voir ce commentaire de Tahar : http://parolededemocrate.blogspot.com/2011/04/hommage-juliano-mer-khamis.html?showComment=1302349577889#c2133088452089068243 ). Son frère Spartacus soupçonne le Hamas (qui avait menacé déjà leur mère), mais ce pourrait être aussi le crime d’autres courants radicaux (dans les tensions entre certains courants palestiniens). Qui assume sa double réalité, identité, culture (et veut la paix), dérange tous les extrémismes, dérange tous ceux qui revendiquent des identités closes et choisissent de faire perdurer la haine et la guerre. Et voici ce que Juliano Mer-Khamis déclarait en 2009, après des menaces émanant de religieux hostiles à son travail, sur cette page : http://www.france-palestine.org/article11685.html   Oui… « Malgré le soutien de Zubeidi, l'institution culturelle avait essuyé les critiques d'extrémistes et subi deux incendies. Les islamistes, par exemple… » est-il écrit sur Rue 89 : http://www.rue89.com/2011/04/04/lacteur-israelien-juliano-mer-khamis-assassine-a-jenine-198569  (pour la suite…). Et espérons qu’une enquête aboutisse…

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Articles (presse ou blogs, sélection):

RFI : http://www.rfi.fr/moyen-orient/20110405-cisjordanie-juliano-mer-khamis

juif.org : http://www.juif.org/defense-israel/148965,meurtre-de-l-acteur-mer-khamis-son-frere-accuse-le-hamas.php  (et les commentaires)

saphirnews : http://www.saphirnews.com/Hommage-au-juif-palestinien-Juliano-Mer-Khamis_a12421.html  (hommage)

Fiche Wikipedia, Juliano mer-Khamis : http://fr.wikipedia.org/wiki/Juliano_Mer-Khamis

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Pour conclure, à propos de ce crime. CITATION : « Je rêve du jour où je pourrai appeler tout le Proche-Orient, comme j’appelle le Liban et la France et l’Europe, « patrie », et « compatriotes » tous ses fils, musulmans, juifs et chrétiens de toutes dénominations et de toutes origines. », Amin Maalouf, « Les Identités meurtrières ».

 

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Responsabilités ? « Nous sommes tous responsables de tout et de tous devant tous, et moi plus que les autres. » Dostoïevski, cité par Emmanuel Lévinas, dans « Ethique et infini ».                                            

Ce n’est pas à entendre comme une banalisation du crime ou la pensée d’une sorte d’innocence imaginaire des meurtriers et des terroristes. Mais c’est un questionnement sur la violence que l’humanité porte et crée en elle-même. Comment lutter ? Juliano Mer-Khamis, lui, pensait que la culture serait porteuse de paix (et sa mère le dit dans le film « Les Enfants d’Arna »). On sait que des peuples fort « cultivés » - Histoire - ont généré des violences atroces (nazisme…), mais était-ce la même culture que celle dont il parlait ? L’actualité, elle, voit des générations cultivées revendiquer la démocratie… et la fin de la violence.                 

15/04/2011

Jan Patocka, CITATION, et réflexion. « Ce qu’il faut, c’est dire la vérité »…

Platon et l'Europe.jpg

La phrase qui suit a été rédigée par le philosophe Jan Patocka sur son lit d’hôpital, avant de mourir des suites des interrogatoires subis, pour être un des acteurs de la dissidence, et le porte-parole de la Charte 77. Prague… Elle a la force d’une résistance menée au point de mourir. Ce sont de mots comme cela dont on a besoin, parce qu’ils sont marqués au fer rouge de la torture, de la dignité conservée dans les pires conditions. « Ne pas se laisser effrayer et intimider ». Si lui a pu le faire, dans un tel contexte, ceux qui refusent les mots de la haine le pourront, ici et maintenant (dans un contexte différent où les pressions sont idéologiques, mais où il n’est pas toujours facile de savoir dire cette vérité de l’éthique en affrontant la confusion de la pensée qui tente de dominer la raison, avec des certitudes nées des mauvaises peurs).

 «Ce qui est nécessaire, c’est de se conduire en tout temps avec dignité, de ne pas se laisser effrayer et intimider. Ce qu’il faut, c’est dire la vérité.»  Jan Patocka cité par Robert Maggiori, dans l’article de Libération du 31-04-11, "Patocka, Prague à l'âme" : http://www.liberation.fr/livres/01012328899-pato-ka-prague-a-l-ame 

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Pour situer un peu plus l’auteur :

Jan Patocka, "Platon et l’Europe", éds. Verdier. Site de l'édition... http://www.editions-verdier.fr  Extraits de presse : 

« Ce qui change tout est que ce très bon livre, mais qu’on croirait écrit en 1910 et auprès duquel Habermas serait postmoderne, ne sort pas de la vieille Sorbonne ou d’un Club pour l’arrêt des Horloges, mais de la Prague de 1973, où il a paru en samizdat dans la nuit soviétique. Alors, le cœur serré, on pense en le lisant, à ce qu’en 1943 René Char écrivait de la Madeleine à la veilleuse peinte par Georges de la Tour : « La femme explique, l’emmuré écoute. Merci à Georges de la Tour, qui maîtrisa les ténèbres hitlériennes avec un dialogue d’êtres humains. » (Libération, 1983)

« Qui se souvient encore du rôle de la Charte 77 en Tchécoslovaquie aura peut-être oublié jusqu’au nom de Jan Patocka, l’un de ses principaux porte-parole et inspirateurs,  qui devait mourir le 13 mars 1977 à la suite d’interrogatoires prolongés de la police. » () « Terré dans une cave de Prague où il tenait des séminaires, qu’il rédigeait ensuite, avant qu’ils ne soient diffusés sous la forme de samizdats, Jan Patocka a vécu dramatiquement l’expérience de la ligne de front qu’il décrit dans un chapitre central des Essais hérétiques» (Le Nouvel Obs. 1983)

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ESSAIS HERETIQUES. Présentation de l’éditeur (extrait) : « Remontant aux origines de la philosophie européenne, il aborde alors les problèmes du choix, du souci de l’engagement, et de la violence. La Charte 77 dont Jan Patocka fut le premier porte-parole, trouve ici une première tentative d’expression philosophique. » Fragment d’un article (sur la page de l’éditeur), Libération, entretien avec Erika Abrams : « faut dire que, dans l’ensemble, son œuvre s’adresse plutôt à des philosophes professionnels. Ce n’est pas le cas des Essais qui peuvent toucher un bien plus vaste public. Patocka pose des questions nouvelles. »

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Jan Patocka, sur Bibliomonde : http://www.bibliomonde.net/auteur/jan-patocka-1696.html  (note, biblio, et livre référencé, sur l’Europe - pensée comme horizon universel, non comme série de pays enfermés dans le retour au nationalisme)

Fiche  wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jan_Pato%C4%8Dka

06/04/2011

Aimé Césaire. Hommage rendu au Panthéon, ce mercredi 6 avril 2011

Aimé Césaire entre au Panthéon, 20 minutes, 06-04-11 : http://www.20minutes.fr/article/701822/culture-aime-cesaire-entre-pantheon  « ‘’Reconnaître l'une des plus grandes voix ultramarines, c'est aussi rendre hommage à la vitalité des cultures d'Outre-mer, qui n'ont cessé d'influencer l'ensemble de la culture française’’, avait déclaré le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand lors d'une présentation de l'événement. Notons au passage que 2011 est l'année des Outre-mer. » (La tombe du poète décédé en 2008 reste en Martinique, mais une plaque et une fresque monumentale lui rendront hommage au Panthéon.  Cérémonie en présence du Président de la République, qui avait rencontré l’auteur, en présence, aussi, de la famille et de très nombreux invités.) 

Libération, annonçant la mort de l’écrivain, en avril 2008, rappelait les grands axes de sa vie. Article du 17-04-2008 http://www.liberation.fr/politiques/010127082-aime-cesair... : « Aimé Césaire fut, avec le Sénégalais Léopold Sédar Senghor et le Guyanais Léon-Gontran Damas, l’un des chantres du courant de la «Négritude».L’auteur du «Cahier d’un retour au pays natal» avait consacré sa vie à la poésie et à la politique. ». Il redisait ses combats contre le racisme, et notait l’hommage rendu par L’Elysée, pour son 94 ème anniversaire, par une lettre rendue publique : « Le président Nicolas Sarkozy avait salué alors le 26 juin dernier en Aimé Césaire le poète et ‘’homme d’action’’, ‘’porteur d’un message de paix, de tolérance et d’ouverture’’ ».

Aujourd'hui, sur le site du même journal, la dépêche de l'AFP cite les paroles d'émotion de personnes parfois venues de très loin pour assister à cette cérémonie. Parmi les phrases qu'on peut lire, celle-ci : «C'est un événement qu'on ne verra qu'une fois, voir un grand homme des Caraïbes qui a fait connaître les valeurs de la négritude et de l'humanisme entrer au Panthéon.», (Jean Liseron). Et « Il y a un avant et un après Césaire. Son passage sur terre a été une révélation. », (Roland Veron, venu de Martinique).

L'article du 06-04-11, lui, n'est pas lisible intégralement (réservé aux abonnés) : http://www.liberation.fr/culture/01012330031-ave-cesaire (J'y relève une citation importante, qui précise la nature de l'engagement de l'auteur, concernant la négritude : « Nègre je suis, nègre je resterai... Mais Senghor et moi, nous nous sommes toujours gardés de tomber dans le racisme noir. »   

Le Monde, 05-04-11 : http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/04/05/celebre-au...  Titre : « Célébré au Panthéon, Aimé Césaire demeure un rebelle irrécupérable.» Article qui rend compte de l'héritage humaniste de Césaire. Notions clés et CITATIONS...

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Parmi les expressions d'admiration reçues de son vivant, il y eut cette profonde reconnaissance de dette, d’un poète au poète… Dans « Ce que je dois à Aimé Césaire », Bibliophane, 2004, Jacques Lacarrière écrivit ce que fut pour lui le choc salvateur de cette lecture (car cela métamorphosa sa conception de l’écriture poétique, donna sens et direction à toute son œuvre) : «La découverte du cahier en cet automne 1947 me révéla dès les premières pages les pouvoirs et les magies insoupçonnées de ma propre langue : ce n'était pas seulement un poème que je tenais entre mes mains, mais un texte de feu, un brasier, un brûlot.»

Jean-Pierre Siméon, insiste sur cela dans la préface qui introduit le recueil des  « Oeuvres poétiques complètes» de Jacques Lacarrière, Seghers 2011,  «A l'orée du pays fertile » : « La grande rencontre, celle qui décidera de sa destinée de poète et qui est de la nature d'une révélation foudroyante, c'est celle d'un livre, le Cahier d'un retour au pays natal de Césaire. » Cette rencontre se fit par hasard, ouvrage trouvé dans une librairie...

Si un livre peut être croisé, trouvé, et gardé ainsi, comme un heurt prolongé qui change le rapport à la langue, à ce que cela signifie qu'écrire, c'est que ce livre mérite d'être pris en compte par beaucoup, pour tenter de comprendre ce qui fit ce bouleversement...  

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Fiche wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aim%C3%A9_C%C3%A9saire

Biographie et poèmes, pierdelune.com : http://www.pierdelune.com/cesaire.htm

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VIDEO : Rencontre avec Césaire, 2006 : http://www.dailymotion.com/video/x63g14_rencontre-avec-ce... 

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CITATIONS :

« L'homme de culture doit être un inventeur d'âmes. » (et autres CITATIONS d'Aimé Césaire), sur evene.fr : http://www.evene.fr/citations/auteur.php?ida=1627 

« La justice écoute aux portes de la beauté.  » (et autres fragments) sur wikiquote.org : http://fr.wikiquote.org/wiki/Aim%C3%A9_C%C3%A9saire

« Colonisation = chosification »  Citation ajoutée par le Petit Robert à sa définition de la colonisation : http://www.lemonde.fr/societe/article/2007/09/04/le-petit... 

04/04/2011

Martin Luther King, I have a dream. 4 avril 1968, assassinat du Prix Nobel luttant, par la non-violence, contre la ségrégation, pour la justice et la fraternité...

Un 4 avril, on ne peut que rendre hommage à cet homme exemplaire. C'est le jour anniversaire de son assassinat...

Les valeurs de justice entraînent la haine de ceux qui veulent faire perdurer la haine, la discrimination. Que leur hostilité s'adresse à autrui pour son lieu de naissance, sa couleur de peau, ou l'origine de ses parents, pour sa communauté humaine, éventuellement religieuse, ou pour n'importe quel autre prétexte d'exclusion. Que cela passe par les mots ou directement par l'agression physique (mais les mots sont porteurs d'actes de violence et de mort).

Il est toujours très utile aujourd'hui de lire et relire la pensée de cet être. Pour prendre conscience de ce qui vaut le coup d'être défendu, de ce qui peut élever la conscience... En relation avec quelques citations, ci-dessous (après quelques liens), voir ce qui fait écho, donc, avec des préoccupations actuelles, locales, mondiales (notes brèves entre parenthèses...).

Martin Luther King, fiche wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_Luther_King  « Martin Luther King, Jr. est un pasteur baptiste afro-américain né à Atlanta (Géorgie) le 15 janvier 1929 et mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis (Tennessee). »

L'assassinat du leader intégrationniste, vidéo INA : http://www.ina.fr/economie-et-societe/environnement-et-ur... 

I have a dream, discours, le texte sur wikipedia (bilingue) : http://fr.wikipedia.org/wiki/I_Have_a_Dream 

SITE dédié :  http://www.martinlutherking.fr/  « Découvrir et apprécier leur pertinence ( celle de sa pensée, de ses conceptions sociales et éthiques) pour aujourd'hui est sans doute une étape indispensable dans le combat contre le racisme et les nouvelles formes d'esclavage moderne. »

DOSSIER sur l'Internaute http://www.linternaute.com/biographie/martin-luther-king/  « Militant non-violent pour les droits civiques des noirs, Martin Luther King a joué un rôle majeur pour l’émancipation des Afro-américains et la prise de conscience de l’injustice de la ségrégation aux Etats-Unis. « I have a Dream », titre de son discours appelant à la fraternité entre noirs et blancs, est devenu un véritable hymne à la solidarité et à l’espoir d’entente entre toutes les communautés. »

Sur herodote.net : http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=75  (Biographie du pasteur qui lutta contre la ségrégation par la non-violence).

Revue de presse en 2008, 40 ans après l'assassinat (USA) sur 20minutes.fr  http://www.20minutes.fr/article/223356/Monde-Il-y-a-40-an...

Images d'archives (en 2008, pour les 40 ans de l'anniversaire tragique de cet assassinat), sur afrik.com : http://www.afrik.com/article14021.html 

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CITATIONS.

Sur L’Internautehttp://www.linternaute.com/citation/auteur/martin-luther-... 

Et Wikiquote : https://fr.wikiquote.org/wiki/Martin_Luther_King