18/05/2024
Israël-Gaza, suite… À l’écoute de tous, les regards de Joann Sfar, Ismaël Saidi, Gilles Kepel, Sophia Aram, Kamel Daoud, et diverses voix...
Mon seul drapeau ce sont mes habits / mon seul hymne est mon souffle, / et le premier et le dernier mot est : / « ICI. ». / Je suis un fanatique de la paix
Yehuda Amichaï, poète israélien
Vous, qui tenez sur les seuils, entrez / et prenez avec nous le café arabe. / Vous pourriez vous sentir des humains, comme nous. / Vous, qui tenez sur les seuils, sortez de nos matins / Et nous serons rassurés d’être comme vous, des humains
Mahmoud Darwich, poète palestinien
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01:36 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : israël, gaza, israéliens, palestiniens, yehuda amichaï, mahmoud darwich, dialogue, valeurs, paix, humanisme, fraternité, partage, joann sfar, ismaël saidi, sophia aram, gilles kepel, jérusalem, nous vivrons, holocaustes, the times of israël, kamel daoud, l.p.m, c.c.l.j.
06/02/2024
Israël, Gaza, et le Hamas. Le 7 octobre et après… Israël-Palestine ? / Dernière mise à jour, le 14-5-24...
Mais on ne sème pas le mensonge, il prolifère, il occupe l’étendue qu’il doit constituer lui-même peu à peu, ce qui lui est facile quand tous les moyens sont prêts pour cela. Et pendant ce temps, la vérité enterrée germe.
María Zambrano, Sentiers (trad. Nelly Lhermillier), éd. des femmes 1992.
La Basilique de l'Annonciation expose mosaïques et vitraux de la vierge Marie selon l'imagerie d'une trentaine de nations différentes. Dans les circonstances actuelles ces images rappellent que la chose que nous devrions sacraliser au-dessus de tout est la vie humaine. Albert Cohen disait que ce qui nous rend frères c'est notre sort commun, la mort prochaine. Ces figures de mères et d'enfants revêtent aujourd'hui une importance particulière. Qu'aucun de nous n'endurcisse jamais son cœur au sort d'un camp ou de l'autre. Nous sommes semblables par notre désarroi.
Joann Sfar, post Facebook public, 15-12-2023.
Les lucioles sont partout dans le monde. Le jour, elles disparaissent ; la nuit, elles dissipent le doute et la peur et orientent les humains./Voici ma conviction : la révolte dépourvue de tout désir de paix n’est qu’un vacarme de train rouillé en partance pour le néant.
Karim Akouche, Les lucioles de l'espoir, extrait d’un texte, post Facebook public, 3-11-2023.
À ceux qui... à Paris, Tel-Aviv, Gaza ou ailleurs… se relèveront de la haine et sauront être des bougies dans le noir.
Delphine Horvilleur, fragment de la dédicace du livre à paraître (le 21-02-2024). Comment ça va pas ? Conversations après le 7 octobre, Grasset. (Citations supplémentaires, voir dossier de liens, "Livres").
Aider la Palestine ou aider à la paix, c'est créer des lieux de dialogue. Si vous pensez qu'importer la guerre va sauver quiconque vous êtes des clowns. Gloire à celles et ceux qui au milieu de ce concours mondial de barbarie parviennent à maintenir la discussion, l'écoute, l'espace nécessaire pour que chacun apprenne à faire évoluer son narratif.
Joann Sfar, post public, 14-03-24
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J’étais dans l’esprit de Hanouka et Noël, deux fêtes célébrant différemment la lumière, et exprimant le besoin humain de créer du sens et de l'espoir, et j’ai trouvé le message de Joann Sfar, posé le 15 décembre, particulièrement juste. (Mais pour en saisir toute la force lire l'ensemble de ses posts, sa solidarité profonde avec les victimes du 7 octobre, avec l’angoisse des familles pour les otages, mais aussi sa compassion pour les souffrances causées par la guerre pour la population de Gaza, victime d’ailleurs autrement du Hamas). Il s'adresse, sans déni mais sans haine, à ceux qui se savent "semblables" par leur "désarroi". D’autres préfèrent guerroyer en lançant des mots et des certitudes (et des arguments et références pour confirmer ces certitudes...). Écho aux messages fraternels de Joann Sfar, la page d'un metteur en scène, Ismaël Saidi, qui, comme lui, dénonce les faiseurs de haine, l'antisémitisme, le terrorisme, et diffuse des messages de fraternité, d'humanisme, sans concessions.
(Après un TEXTE introductif, un DOSSIER de citations et liens... / Et, après les liens, un texte en CONCLUSION (questionnement et citation...)
01:58 Publié dans A.B.C. Un sujet de A à Z, ACTU/MÉMO.valeurs.idées, CITATIONS.exergues.incipit.excipit, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : palestine, hamas, antisémitisme, valeurs, presse, livres, citations, fraternité, gaza, terrorisme, perspectives, paix, humanisme, 7 octobre, israël
07/03/2022
ISRAËL. Un rapport d'Amnesty très critiquable...
Amnesty a publié un rapport qualifiant Israël de pays d'apartheid. Terme qu'on a déjà eu l'occasion de trouver dans les critiques les plus haineuses d'Israël, en général associées à la mise en question plus ou moins explicite de l'existence du pays.
Avant de lire quoi que ce soit parmi les réactions diverses qui étaient publiées j'ai été choquée par ce rapport, mais pas très étonnée, car cela me paraissait correspondre à une orientation d'Amnesty de plus en plus partisane, et de plus en plus confuse idéologiquement au sujet de l'islamisme. (Comme dans leur manière de défendre, lors d'un rassemblement à Paris, une avocate emprisonnée pour avoir défendu des femmes refusant le voile, et présentée par eux comme défendant le droit de se voiler ou pas... et rapprochée ainsi des positions d'associations proches des Frères musulmans, donc trahie). C'est dommage. Sur d'autres sujets je soutiens souvent.
Puis j'ai lu. Articles, tribunes, communiqués.
02:23 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, amnesty international, antisémitisme, humanisme, valeurs
22/06/2021
Tisseurs de paix... Israël/Palestine. Violences, guerre, initiatives de paix... et élections.
23:05 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, israéliens, palestiniens, juifs, arabes, paix, humanisme, livres, brice couturier, kamel bencheik, michel taube, david grossman, c.c.l.j., the times of israël, waleed al-husseini, izzeldin abuelaish, laurent couson, yasmina khadra, nos larmes ont la même couleur, je ne haïrai point, l’attentat, une femme fuyant l’annonce, blasphémateur, comme un veilleur attend la paix, émile shoufani, israël le voyage interdit, jean-pierre lledo
19/02/2019
4. ANTISÉMITISME. Éclairages complémentaires.... (dossier, note 4/5)
15:58 Publié dans ANTISÉMITISME. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paul celan, élie wiesel, netanyahou, israël, antisémitisme
05/11/2015
Israël-Palestine. "Parcours de paix...". LIVRES et ART. Listes de LIENS...
"La médiathèque Lucie Aubrac de Ganges, en Cévennes, et Réel éditions (maison d'éditions à Ganges) s’associent pour proposer deux journées, les Vendredi 20 et Samedi 21 novembre 2015, et présenter les actions de paix de plusieurs Palestinien(ne)s et Israélien(ne)s, à travers rencontres, débats, projections, musique… Les invité(e)s sont les auteurs du livre collectif : Israël – Palestine, Les mains tendues, Réel éditions, qui sortira en librairie début novembre."
"Ils sont Israéliens, Palestiniens, Juifs, Arabes, Musulmans, Chrétiens..."
23:57 Publié dans ART.tous arts visuels, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix, LIVRES, bibliographes, anthologies | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, paix, dialogue, fraternité, israéliens, palestiniens, livres, humanisme, citations, art
18/10/2015
Israël-Palestine, penser le conflit sans "être" le conflit... S'informer.Associations.SITES
23:52 Publié dans Israël-Palestine/tisseurs.de.paix, WEB..LIENS.sites.presse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, conflit, dialogue, citations, paix, religions, la paix maintenant, forum for peace, tisseurs de paix, humanisme, l.p.m., fraternité
13/10/2015
"Une bouteille à la mer", film de Thierry Binisti, le 13-10-15, sur la 3
Le film est repris sur la 3, ce soir, à 23h10. Voici l’occasion de sortir du manichéisme… Certains critiques ont voulu absolument parler de «bons sentiments», préférant sans doute des visions plus dures, la séparation des regards. Ce n’est pas, à mon avis, avec le goût des ressassements pessimistes qu’on peut faire évoluer les esprits, ici et ailleurs, sur l’histoire et l’actualité, qu’on parle d’Israël et de la Palestine, ou de la France et de l’Algérie (par exemple). Evidemment cela nous demande de tenter de nous échapper des certitudes, d’accepter de porter attention aux faits dérangeants, de faire un effort sur nous-mêmes pour sortir des cages identitaires qui nous emprisonnent (et cela ne veut en aucun cas trahir ses appartenances et ses ancrages : l’identité n’est pas une idéologie), et, enfin, d’avoir la force, non de renoncer à ressentir des émotions (tristesse, colère, révolte, etc.) mais de prendre le temps de les examiner en soi (car elles sont effectivement là) pour en savoir la source réelle et les transmuter… Nos pensées sont aussi des bouteilles à la mer, et le filet que nous lançons induit ce qu’il ramasse...
22:03 Publié dans ART.tous arts visuels, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, israéliens, palestiniens, gaza, films, cinéma, culture, une bouteille à la mer, humanisme, dialogue, identité, identités, thierry binisti, fraternité, valeurs
« Nos larmes ont la même couleur », un livre, des êtres, des rencontres...
Le titre est très beau, il traduit la manière dont la douleur est vécue, et l’éthique des êtres qui s’engagent, malgré toute la dureté du conflit, la situation qui semble bloquée. Sortir des colères et des rages, malgré l’horreur des drames (là c’est la mort absurde de son enfant, dans un conflit qui s’éternise, avec, de part et d’autre, des chercheurs de paix et des esprits enfermés dans la logique de guerre). Parler à la place des autres, c’est impossible, manipulateur (et trop le font, qui instrumentalisent la réalité, relativement proche mais lointaine cependant, pour des enjeux douteux). Mais entrer dans la souffrance de l’autre pour comprendre qu’elle est exactement la nôtre, c’est une démarche inverse, dont sont capables, justement, des êtres pour qui la réalité n’est pas une information externe, une analyse lue dans un journal, un info entendue, mais le vécu concret, émotionnel, charnel, et pourtant pensé. Celles qui témoignent sont des mères : elles ont perdu un fils, et militent ensemble. Ce conflit, on le suit avec tristesse ou rage, en lecteur/lectrice des journaux, oreille et yeux attentifs aux paroles et images télévisuelles, aux prises de position d’associations (fort diverses, clivées), aux commentaires vus ici et là sur des forums, et très souvent fort décevants, si ce n’est fort inquiétants (tant la haine s’y greffe, au point qu’on ne sait plus si le conflit est cause ou prétexte pour certains).
01:16 Publié dans Israël-Palestine/tisseurs.de.paix, LIVRES, bibliographes, anthologies | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nos larmes ont la même couleur, anne guion, bushra awad, robi damelin, livres, david grossman, izzeldin abuelaish, israël, palestine, israéliens, palestiniens, dialogue, fraternité, humanisme, partage, empathie, valeurs, cercle des parents, tisseurs de paix, libres paroles au-dessus du mur, aline baldinger
17/04/2011
Sur l’assassinat de Juliano Mer-Khamis, tragédie récente (Cisjordanie, avril 2011), et sur trois autres meurtres : Hrant Dink (Turquie, 2007), Shahbaz Bhatti (Pakistan, mars 2011), Vittorio Arrigoni (Gaza, avril 2011)
Une des plus tristes nouvelles du début du mois a été ce message entendu à la radio, puis repris et commenté par la presse : le 4 avril, assassinat de Juliano Mer-Khamis (Le Monde, dans sa page « Disparitions » du 07-04-11, titre, avant son nom « Acteur et réalisateur arabe-israélien… ». Même si l’article mentionne sa mère juive et dit bien l’itinéraire et l’action de l’homme, le titre est réducteur. Car un arabe israélien c’est quelqu’un dont l’identité est d’être arabe d’origine (et cela peut être de mère et de père) et israélien de citoyenneté. Richesse identitaire, aussi, mais pas la même.
100% Juif, 100% Palestinien. C’est ainsi que ce militant pour la paix, acteur et metteur en scène, se désignait lui-même, revendiquant sa double appartenance (mère juive israélienne, Arna Mer, et père palestinien de Nazareth, Saliba Khamis). Sans contradictions ni conflits intérieurs. Etre, tout simplement, militer pour la paix, notamment en animant un théâtre (Le Théâtre de la Liberté), et en suivant ainsi des jeunes. Sa manière d’intervenir à Jénine (camp de réfugiés au nord de la Cisjordanie), ne tenant pas compte des menaces des extrémistes, gênait les intégristes (qui ne supportaient pas sa façon de transgresser d’évidence les codes plus que normatifs des fondamentalistes). Cette liberté avait entraîné des menaces, et il avait été déjà agressé. Craignait-il alors pour sa vie ? Sans doute : en tout cas il la prévoyait. Mais rien ne lui fit renoncer à ce nécessaire investissement. Son désir d’une lutte par la culture, d’un renversement des valeurs qui aboutisse à la paix s’appuyait sur la conviction qu’étaient déjà présents les germes de cette construction d’une génération libre. Malgré le désespoir, malgré le drame de certains destins. Voir Les Enfants d’Arna, le film sur sa mère et son action avec les enfants de Jénine : http://www.dailymotion.com/video/x596fh_palestine-les-enfants-d-arna-julian_news (vidéo 1/6 : les autres vidéos sont en marge sur la même page, pour le film complet, documentaire sous-titré qu’il faut regarder complètement pour en saisir tout le sens…).
L’acteur-réalisateur a été abattu de cinq balles. « Un symbole israélo-palestinien assassiné à Jénine » titre le blog de Gilles Paris, journaliste au Monde : http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2011/04/04/un-symbole-israelo-palestinien-assassine-a-jenine/ Non, pas le symbole, l’homme, dit un commentaire. Effectivement : serait-ce comme si sa vie n’avait plus la même portée, le même sens ? L’homme a été tué, c’est tragique, terrible, mais le symbole demeure, ses traces feront leur œuvre plus ou moins souterrainement. Cependant on peut comprendre le titre autrement : le symbole vivant qu’était cet homme n’est plus là, ce qui ne veut pas dire que le sens en soit enfui. Jacques Benillouche, journaliste israélien, titre aussi sur son blog, « La mort d’un symbole » : http://benillouche.blogspot.com/2011/04/la-mort-dun-symbole-djenine.html
On ne sait pas encore qui l’a tué (un suspect semble avoir été arrêté : voir ce commentaire de Tahar : http://parolededemocrate.blogspot.com/2011/04/hommage-juliano-mer-khamis.html?showComment=1302349577889#c2133088452089068243 ). Son frère Spartacus soupçonne le Hamas (qui avait menacé déjà leur mère), mais ce pourrait être aussi le crime d’autres courants radicaux (dans les tensions entre certains courants palestiniens). Qui assume sa double réalité, identité, culture (et veut la paix), dérange tous les extrémismes, dérange tous ceux qui revendiquent des identités closes et choisissent de faire perdurer la haine et la guerre. Et voici ce que Juliano Mer-Khamis déclarait en 2009, après des menaces émanant de religieux hostiles à son travail, sur cette page : http://www.france-palestine.org/article11685.html Oui… « Malgré le soutien de Zubeidi, l'institution culturelle avait essuyé les critiques d'extrémistes et subi deux incendies. Les islamistes, par exemple… » est-il écrit sur Rue 89 : http://www.rue89.com/2011/04/04/lacteur-israelien-juliano-mer-khamis-assassine-a-jenine-198569 (pour la suite…). Et espérons qu’une enquête aboutisse…
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Articles (presse ou blogs, sélection):
RFI : http://www.rfi.fr/moyen-orient/20110405-cisjordanie-juliano-mer-khamis
juif.org : http://www.juif.org/defense-israel/148965,meurtre-de-l-acteur-mer-khamis-son-frere-accuse-le-hamas.php (et les commentaires)
saphirnews : http://www.saphirnews.com/Hommage-au-juif-palestinien-Juliano-Mer-Khamis_a12421.html (hommage)
Fiche Wikipedia, Juliano mer-Khamis : http://fr.wikipedia.org/wiki/Juliano_Mer-Khamis
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Pour conclure, à propos de ce crime. CITATION : « Je rêve du jour où je pourrai appeler tout le Proche-Orient, comme j’appelle le Liban et la France et l’Europe, « patrie », et « compatriotes » tous ses fils, musulmans, juifs et chrétiens de toutes dénominations et de toutes origines. », Amin Maalouf, « Les Identités meurtrières ».
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Responsabilités ? « Nous sommes tous responsables de tout et de tous devant tous, et moi plus que les autres. » Dostoïevski, cité par Emmanuel Lévinas, dans « Ethique et infini ».
Ce n’est pas à entendre comme une banalisation du crime ou la pensée d’une sorte d’innocence imaginaire des meurtriers et des terroristes. Mais c’est un questionnement sur la violence que l’humanité porte et crée en elle-même. Comment lutter ? Juliano Mer-Khamis, lui, pensait que la culture serait porteuse de paix (et sa mère le dit dans le film « Les Enfants d’Arna »). On sait que des peuples fort « cultivés » - Histoire - ont généré des violences atroces (nazisme…), mais était-ce la même culture que celle dont il parlait ? L’actualité, elle, voit des générations cultivées revendiquer la démocratie… et la fin de la violence.
23:55 Publié dans Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : juliano mer-khamis, cisjordanie, juif palestinien, israël, palestine, théâtre de la liberté, les enfants d’arna, gaza, assassinat, identité, amin maalouf, citations, éthique, théâtre, dostoïevski, emmanuel lévinas, humanisme, fraternité, valeurs, terrorisme