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23/07/2024

Revue L'Intranquille N° 26

l-intranquille-n26.jpgJ’ai lu avec intérêt les poèmes de María Mercedes Carranza (textes bilingues, espagnol de Colombie, trad. Brigitte Vanhove). Dont un poème pour rêver d’une rencontre amoureuse avec Ulysse, afin de comprendre le mystère de son itinéraire. Et un texte testament, ou presque, faisant le tour de sa vie, tous les rôles, les valeurs, les faiblesses communes... Moriré mortal... « Je mourrai mortelle / après avoir dit-on traversé / ce monde / sans le rompre ni le salir » (...) « Et quand surgit la peur / je regarde la télévision / pour dialoguer avec mes mensonges ». Puis, choix, Impudeur, splendeur et peur : « J’ai parlé de la splendeur de la vie / et de la séduction fatale de la déroute ; / quelqu’un a crié « mort à l ‘intelligence », / à l’instant même où Albert camus / disait des mots / d’acier et de lumière » (...) « Ainsi me fut offert le monde. / Ces horreurs, la musique et l’âme / ont chiffré mes jours et mes rêves. ».

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Revue L'Intranquille N°25

l-intranquille-n-25.jpgLe numéro 25 commence par un hommage à Jean Cocteau, mort en octobre 1963. Écho à l’exposition qui lui est consacrée à Menton, au Musée Jean Cocteau. L’auteur, Jean-Paul Gourévitch, rappelle surtout la fascination de Cocteau pour Orphée, sa « figure tutélaire », fascination qu’il partage avec lui. Orphée, ce personnage légendaire dont on ne sait vraiment s’il exista ou n’est que mythe (même si des poèmes lui sont attribués), mythe particulièrement riche et symbole à la fois de la création, le père imaginaire de la poésie, la représentation du rapport avec la mort, de l’amour passionné qui transcende la peur de l’au-delà, même infernal.

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29/06/2024

Mon marché, au Marché... de la Poésie

Marché Poésie.jpegLe Marché de la Poésie, c’est aussi l’occasion de faire provision, parfois pour un long temps de lectures...

Pages pour aider à penser, construire sa liberté.

Pas étranger à la situation actuelle. Et L’Autre livre l’écrit dans son appel... que chacun aura interprété selon ses analyses pour voter le plus jute possible le 30 et le 7...

https://lautrelivre.fr/ Donc j’ai fait mon marché, ayant préparé ma liste de titres d’avance...

La Poésie, une sorte de résistance...

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22/06/2024

Une enfance corse, livre collectif

51aIrFmsIoL._SY385_.jpgParcours du livre collectif Une enfance corse, Bleu autour, et Colonna (pour la Corse), 2010.

C’est toujours intéressant et émouvant de lire ce qui nous fait entrer dans l’intimité des êtres, dans ces années qui sont la genèse des vies à venir (tant ce qui bloque, par les blessures, guéries par le travail sur soi, que ce qui révèle les potentialités). Pourquoi l’ancrage en une terre est-il si important ? Parce que l’humain-arbre a des racines, et que le paysage façonne celui qui regarde. Quand l’Histoire secoue, les témoignages s’appuient aussi sur des mémoires d’enfance, c’est pourquoi ces textes corses me renvoient à d’autres, parlant d’Algérie (ou Maroc, Tunisie). Mais aussi, à travers la Corse ils évoquent la Méditerranée commune, celle de Gabriel Audisio et Albert Camus, et derrière eux le personnage d’Ulysse, comme figure symbolique.

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20/06/2024

Marché de la Poésie, Juin 2024.

Marché Poésie.jpegMarché de la Poésie...

Je serai vendredi 21-6 au stand 706, Unicité, de 17h à 18h30, avec mes livres...

Je mets là un autoportrait d’écriture en citations,

des extraits du recueil Le réel est un poème métaphysique

(proses, photographies, poèmes – et certains exergues, car on est ses lectures).

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30/05/2024

Dossier. ISLAM. 1. Religion, spiritualité, mystique. LIVRES, éditions

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Islam, spiritualité et mystique

S’intéresser à la culture musulmane fait rencontrer la part spirituelle étrangère aux visées politiques. (En tenant compte cependant des questionnements indiqués dans l’introduction du dossier sur l’islamisme).

Il faut répondre aux projections malveillantes qui font un amalgame entre des courants violents et criminels (ou des dogmatiques obscurantistes) et l'ensemble des croyants nés dans cette culture, confusion essentialisante qui rejoint un certain racisme ne disant pas toujours son nom. (Même si les marges extrémistes prêtent de quoi nourrir l'hostilité de gens qui ne sont ni racistes ni porteurs de haine.) Et même s'il existe une certaine porosité entre les tenants des vues réactionnaires des intégristes et de simples pratiquants, à partir du sentiment d'appartenance, qui peut mener au communautarisme et influencer les perceptions et croyances, jusqu’à l’acceptation de codes. 

. Cette porosité on peut la voir à des signes, quand des faits provoquent des débats sur des questions liées au voile, par exemple, et que des laïques les dénoncent. Et on la voit dans l’utilisation victimaire de la notion d’islamophobie, utilisée par les islamistes pour faire pression.

Les confusions produisent aussi des totalitarismes (et cela commence par le choix des mots) ; les pièges sémantiques deviennent des pièges dialectiques. Sur la question des religions... le stalinisme avait érigé l'athéisme en "religion" de remplacement : ce n'est pas un modèle à suivre. La nature du totalitarisme se définit aussi par une emprise sur la conscience des individus, en fonction de ce que le pouvoir du moment croit être la juste manière de penser, croire, ou ne pas croire (pouvoir politique quand la religion est d’État, pouvoir religieux communautaire dans d’autres cas). Les théocraties islamistes, dictatures, imposent de croire à leur manière, l'Inquisition catholique le fit aussi, avec la même violence, mais le stalinisme imposa tout aussi violemment de ne pas croire... Les islamistes veulent importer ce viol des consciences dans les démocraties.

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29/05/2024

DOSSIER. Islamisme. 1. LIVRES, études critiques (sélection et fichier)

islamisme,idéologie,idées,livres,culture,laïcitéIl faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit.     

Charles Péguy, Notre jeunesse, Cahiers de la Quinzaine, 1910, Gallimard, 1933, Folio, 1993.

À cette pensée on peut ajouter celle-ci, même auteur (Pensées, Gallimard, 1936, 1998) : La guerre contre la démagogie est la plus dure de toutes les guerres. (Car la démagogie est la réponse complaisante que certains donnent aux idéologies problématiques).

Islamisme et lutte idéologique

L’islamisme est une réalité et son déni en est une autre.

On a pu constater que l’entrisme des Frères musulmans atteignait des associations et institutions diverses qui prennent des décisions surprenantes, sous influence. Et on a pu voir aussi que les réseaux des salafistes (pourtant minoritaires au départ) se déployaient. Pour comprendre les enjeux et réagir il faut s’informer. Et c'est possible : livres, articles, sites et blogs (associations, auteurs, les sources sont infinies. Et si le fondamentalisme fait pression et influence, l'expression autre existe : des penseurs laïques (athées ou croyants), des intellectuels musulmans (ou de culture musulmane sans être d'esprit religieux), des chercheurs spirituels désirant une autre manière de vivre l'islam hérité, soit simplement en voulant le confronter à la modernité et en contextualiser les textes fondateurs, soit en se rapprochant des voies soufies mystiques.

Il est extrêmement important de distinguer l'islam (la religion de croyants qui ne sont pas des idéologues mais seulement des gens qui accordent une place à la spiritualité dans leur vie, en fonction de la culture transmise) et l'islamisme (construction idéologique et politique à visée totalitaire). Si on crée la confusion on stigmatise des gens qu'on voue ainsi à l'enfermement identitaire (et, pour les plus fragiles psychologiquement ou socialement, à une possible radicalisation). Mais il ne faut pas être dupes de ceux qui jouent sur la confusion en rejetant toute critique de la religion en parlant d’islamophobie comme si cela signifiait racisme visant les musulmans, ce qui n’est pas le cas.

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07/04/2024

La moindre mesure du monde... Livre de Jean-Pierre Otte, L'Étoile des limites

Couverture-La-moindre-mesure-du-monde.jpg-nggid0295-ngg0dyn-640x426x100-00f0w010c010r110f110r010t010.jpgLa moindre mesure du monde, L’Étoile des limites, coll. Le lieu et la formule, 2023.

Le titre de cet ouvrage d’une quarantaine de pages correspond bien à l’intitulé de la collection, qui pose en exergue une citation de Rimbaud, « …pressé de trouver le lieu et la formule ».  Ainsi « Le lieu et la formule » inviterait des auteurs cherchant à se penser eux-mêmes à travers un espace, et tentant de définir une sorte de géométrie intérieure en questionnant une géographie extérieure. Le mot le plus important serait la « formule », car arpenter un lieu pour le décrire seulement, cela ne présente qu’un intérêt très relatif, s’il n’y a pas une démarche interrogeant le JE dans sa profondeur inconsciente, d’une part, et sa place dans une démarche de conscience d’être, la dimension ontologique, d’autre part. C’est en tout cas ma conception de l’écriture, et comme le poète Daniel Giraud le disait pour lui-même, je ne sépare pas la poésie (vers ou prose fragmentaire) de la philosophie. C'est la seule poésie qui m’intéresse vraiment (à lire ou à écrire), celle qui rejoint le domaine métaphysique, et plus, selon la conception de Jean Rouaud, « l’ambition mystique de la poésie » (je le citais dans ma première note sur la triste polémique autour du Printemps des Poètes).

Il me semblait, avant de lire son texte, que le titre de Jean-Pierre Otte indiquait qu’il allait au-delà de tout parcours de sentier ou de marche dans du « local ». Même s’il parle bien d’un lieu il le dilue dans une sorte d’anonymat qui crée une abstraction propre à faire penser. Il va vers la mer, dont les rives sont une frontière d’univers, finalement, où qu’elle soit, et les oiseaux qu’il mentionne relient terre et ciel (sable et cosmos) comme le feraient les traits d’une gravure.

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01/04/2024

Poésie. Revue DIÉRÈSE n° 89

diérèse,lesdeux-siciles,daniel martinez,poésie,livres,citations,lecture d’images,hommagesL’éditorial de Gilles Lades met, dès l’exergue (citation d’Antoine Emaz) et sa première phrase, l’accent sur l’émotion : « le cœur et la chair de notre existence ». Il montre comment l’émotion émerge de l’intime, avec sa part inconsciente et son rapport avec l’imaginaire. Donc, écrit-il, elle ne peut être écartée de la pensée du poétique. Mentionnant Valéry, Goethe, et plusieurs autres auteurs dont René-Guy Cadou et Yves Bonnefoy, il considère que « seul le verbe poétique » a la force, « en unissant auteur et lecteur », de relier « l’intime » au « cosmique ».

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Ouverture… En page-titre intérieure, une citation…

La Poésie est une présence infiniment légère et infiniment comblante.

                                     Nicolas Dieterlé (1963-2000)

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20/03/2024

Revue DIÉRÈSE 88. Suite du parcours...

diérèse,les deux-siciles,daniel martinez,poésie,livres,citations,lecture d’imagesDans la note précédente, j’avais fait un parcours rapide de la revue, accompagnant la lecture de la recension de Michel Diaz et de son récit. Je mentionnais déjà l’intérêt de l’éditorial d’Alain Fabre-Catalan, que j’ai encore relu. Il écrit que la poésie s’inscrit « dans cette extrême tension entre le mutisme de l’existence immédiate et l’invention du langage face au foisonnement du réel ». C’est pourquoi, le poème qui est lu « ne se donne jamais d’emblée ». Je trouve que ce qu’il dit de la lecture pourrait s’appliquer aussi à l’écriture : « Rencontrer une parole autre qui retentit à l’intérieur de soi », permettre « un dialogue avec l’inconnu d’une voix qui soudain vous révèle à vous-même ». Car le processus est proche, écoute de sa propre voix, qui contient aussi une part d’inconnu et provoque une révélation à soi-même de ce qu’on ne savait pas avant que les mots du poème le tracent. Et d’une certaine manière la lecture est une écriture qui participe de la création du poème. Comme l’écriture est une lecture des signes qui deviennent langage en laissant émerger les mots de la langue qui travaillaient souterrainement en soi.  C’est d’ailleurs ce qu’il propose aussi pour penser le poème comme « expérience de soi à travers l’écriture ». Je retiens les mots « énigme », concernant poète et lecteur, et « déchiffrement » comme opération de lecture (mais elle succède au déchiffrement premier de notre part d’inconnu que le langage va traduire). Dans les deux moments, écriture et lecture, c’est la possibilité d’un accès à cette « énigme » qui fait qu’écrire ou lire un poème est vivre un triple « franchissement vers un au-delà de soi-même » (poème, poète, lecteur). Et encore plus quand le lecteur est aussi poète qui déchiffre « un au-delà de soi-même » en écrivant ses textes. Sachant que le poète authentique ne naît que par ses lectures de ceux qui l’ont précédé et de ceux qui vivent dans son temps.

Alain Fabre-Catalan appuie son texte sur deux citations de Claude Esteban, hommage à un auteur qui savait « épouser mieux l’obscur / pour avancer ».

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Ouverture… Citation en page-titre intérieure :

Chaque poème est un monde neuf qui nous reçoit

Comme si nous l’avions toujours connu. 

Claude Albarède

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26/02/2024

La recension de Michel Diaz pour Le réel est… / DIÉRÈSE, revue de poésie (1er temps de lecture du n° 88…).

Diérèse.jpgPremier temps de lecture de la revue Diérèse (Daniel Martinez) car (très occupée autrement) j’ai cumulé un retard de plusieurs mois (revues et livres qui s’entassent mais ne seront pas abandonnés…). Et le numéro 89 attend aussi… 

Dans ce numéro 88 j’ai la joie de lire la superbe, et ample, recension que Michel Diaz a consacré à mon dernier recueil, Le réel est un poème métaphysique (extraits après mon introduction, 2ème partie de la note, suivie du lien vers le site de l’édition). Dans ce numéro je suis en compagnie des lectures qu’il a faites des livres de Jacques Robinet (Clartés du soir, Unicité - recueil que je suis en train de lire...), Richard Rognet (Dans un nid de flammes, L’herbe qui tremble), Jean-Pierre Boulic (Enraciné, La Part Commune). Mais j’ai découvert aussi autre chose. Un texte de Michel Diaz dont je lis surtout les recueils de poèmes et fragments poétiques (écriture que j’apprécie particulièrement et place « haut ») : dans cette revue, pages 199 à 215, un récit troublant, Un petit théâtre de ruines, dont l’exergue (La Rochefoucauld) révèle un sens, un questionnement (frontière indistincte entre vérité et mensonge, ou les fils étranges du destin).

Donc, sa recension. Une capacité intuitive qui lui fait savoir, au-delà des pages à déchiffrer, ce que celle qui écrit tente de décrypter, cet autre savoir dont l’écriture veut dire la souterraine conscience. Il sait, parce que sa démarche d’écrivain se situe dans un espace de profondeur signifiante.

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23/02/2024

ROBERT BADINTER, hommage.

robert badinter,abolition,justice,engagement,humanisme,valeurs,livres,citationsCet homme remarquable, Robert Badinter, a prolongé l’action de Victor Hugo, Albert Camus, Arthur Koestler, et quelques autres… L’abolition de la peine de mort, en 1981, est sa réalisation principale, aux répercussions importantes dans la conscience nationale et internationale (car la lutte pour l’abolition se nourrit des choix des pays abolitionnistes, surtout quand la parole a la force de celle de Robert Badinter). Mais en tant qu’avocat il a associé ce combat de justice à celui concernant les conditions de vie des prisonniers et l’état des prisons, en se désolant des difficultés et des lenteurs à réformer, soucieux aussi de penser la réinsertion des prisonniers après leur libération.

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22/02/2024

JEAN MALAURIE, hommage

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Jean Malaurie c’est pour moi (et pour beaucoup) d’abord deux repères. Les Inuits, et la collection Terre humaine. Il nous a fait découvrir les uns (leur univers, leurs croyances, leur animisme) et il a créé une collection fabuleuse, un espace pour les publications des ethnologues, ouvrant le monde aux lecteurs.

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21/02/2024

(2) PRINTEMPS des POÈTES 2024. Des réponses faites aux... censeurs

Printemps.jpgLes réponses qui furent faites pour protester contre cette attaque m’intéressent. Comme tout cela concerne ce que signifie la poésie, c’est l’occasion d’y réfléchir. 

Sophie Nauleau a qualifié la tribune, et cette levée haineuse, de « cabale effarante, consternante pour ne pas dire monstrueuse », alors qu’elle « assume pleinement » le choix du « parrain féérique » qu’est, dit-elle, Sylvain Tesson. Jack Lang, le créateur du Printemps des Poètes, choqué par la tribune, a écrit dans un tweet, repris par la presse, qu’un « tel crétinisme est une insulte à la poésie qui, par excellence, est libre et sans frontières. ». Et William Marx, professeur au Collège de France, écrit (tribune publiée par Libération, 25 janvier en ligne) : « La poésie mérite mieux que cette haine ». Il intervient aussi le 29 janvier dans un débat sur « L’Affaire Sylvain Tesson » pour une émission de France culture (voir plus bas).

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08/02/2024

Lire Paul CELAN

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Seules de vraies mains écrivent de vrais poèmes.

Paul Celan, Lettre à Hans Bender, in Le méridien et autres proses.

Lire Celan : se lire en le lisant, se laisser traverser par sa langue neuve, sa musique de douleur et de combat (…) en touchant aux signifiants on touche aux « amarres de l’être » [1].

Florence Signon, Paul Celan, le poète aux vraies mains, revue L’En-Je lacanien, 2013.

[1] Jacques Lacan, L’instance de la lettre dans l’inconscient, in Écrits.

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J’ai relu Paul Celan... 

Revenir toujours aux grandes écritures, aux pensées fortes.

Choisissant, parmi les livres rangés dans ma bibliothèque j’ai feuilleté les pages, saisissant les phrases qui le faisaient s’adresser à moi, à travers le temps, pour répondre aux questions. Voici quelques fragments…

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