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10/12/2020

POÉSIE. À L'INDEX, N° 41...

jean-claude tardif,peter neu,peter gizzi,vladimir claude fisera,michel lamart,line szöllösi,jean chatard,jean bensimon,roberto san geroteo,jacques nuñez-teodoro,monique w. labidoire,éds. alcyone,andré prodhomme,marie-claude san juan,encres vives,claire légat,michel cosem,arnaud forgeron,andré suarès,reiner maria rilke,à l'index,à l'index 41,le livre à dire,citations,poésieDe l’éditorial de Jean-Claude Tardif je retiens notamment la distinction qu’il fait entre les auteurs qui ne sont attentifs qu’à leurs publications, ne montrant pas d’intérêt pour les autres, pas vraiment lecteurs, et ceux qui lisent, curieux d’autrui. Cela rejoint le malaise que je ressens devant des conduites d’autopromotion exclusive. 

Dans ce numéro, entre les textes, de beaux dessins de Peter Neu, très structurés, architectures sombres, rues, lieux, maisons. Et une création de Claude Jacquesson.
 
Des traductions, comme toujours, textes bilingues d’auteurs à découvrir. Poèmes traduits de l’anglais américain, du grec, de l’allemand, cette fois… Des recensions, deux, de qualité (je les mentionne largement). Je suis présente (poèmes), mais je me cite en fin de note, tout en bas.

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01/12/2020

L'Intranquille 19, revue : le vivant (animal, humain...). Poésie

1. l-intranquille-n19.jpgL’autre monde est là,   non celui des humains.   Li Po.    

Trad. François Cheng, Entre source et nuage

 
 J’ai donc lu ce numéro, auquel j’ai participé. 
 
Dans le dossier Révolution animale, que j'ai d'abord lu, pour voir comment les autres auteurs avaient interprété cette proposition, j'ai préféré quatre textes.
Révolution animale, on peut penser cela de tant de manières... Le devenir de ce monde multiple, avec lequel les hommes vivent mais qu’ils utilisent en oubliant souvent ses droits, et, au contraire, monde sauvage que certains voudraient croire semblable à nous, jusqu’à le fantasmer autre et loin de son identité. On partage un territoire avec les animaux et on envahit cet espace de plus en plus. L’éditrice pensait son projet à travers Orwell. On peut voir nos mondes dans leur affrontement, jusqu’au massacre, ou dans la douceur d’une possible communication entre lointains corps différents, porteurs cependant d’une conscience d’existence, de quelque chose qu’on ne sait pas vraiment nommer.

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