01/04/2019
2. Synchronicités ? Détour par l‘astrophysique et la cosmologie (pensée des multivers, voyage dans l’étrange…).
Multivers ? Vers l'écriture des MultiRêves (Jean-Philippe Cazier, voir ci-dessous).
Je disais donc (note précédente) que, pour comprendre plus facilement ces notions si complexes, si difficiles à envisager avec nos codes de pensée, il fallait se tourner vers des informations du côté de la science (recherches qui, d’ailleurs, font retomber sur philosophie et poésie…).
Et, pour commencer, le double DVD d’ARTE, coffret. Documentaire en plusieurs partes. Une extraordinaire réussite, et c’est très beau… (S’être intéressé d’abord à la synchronicité entraîne plus loin… )
DVD 1 : Espace, illusion du temps, saut quantique, univers et multivers.
DVD 2 : Le rêve d’Einstein, la théorie des cordes, la 11ème dimension.
"La magie du cosmos et l’univers élégant"... https://boutique.arte.tv/detail/la_magie_du_cosmos_l_univ...
02:33 Publié dans LIVRES, bibliographes, anthologies, Synchronicités.hasard, WEB..LIENS.sites.presse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : syncronicité, synchronicités, hasard, univers, multivers, univers multiples, univers parallèles, conscience, théorie des multirêves, multirêves, jean-philippe cazier, lucien raphmaj, aurélien barrau, christophe galfard, stephen hawking, astrophysique, cosmologie, physique quantique, quantique, saut quantique, espace, temps, espace-temps, dimensions, la magie du cosmos, cosmos, arte, dis voir éditions, contes illustrés pour adultes, étrange, étrangeté, impensable, mystère, diacritik, jean-pierre luminet, luminesciences, jorge luis borges, gaston bachelard, val del omar, jacques arnould, sous le voile du cosmos
14/04/2015
Hasard, vent, création... et relecture d’ August Strindberg...
Je marche, et je deviens street-artiste imaginaire... Puisque je ne le suis pas vraiment, ou seulement si on peut parler de street-art des captations, non de ce qui est peint sur les murs, mais de ce que les murs peignent... Je me contente paresseusement de regarder, et de photographier. Les yeux errent au hasard des pas, et justement, là, je vois une image créée par l’agacement de passeurs (peut-être) qui ont déchiré les affiches, et, sans s’en rendre compte, sans doute, ont participé à une construction mentale collective. Moi j’y vois un ciel, l’image d’un mur aussi, et le symbole de l’écriture qui n’est que cet amoncellement-destruction des phrases venues, effacées, reprises ou jetées, déchirées aussi, puis recréées par l’effarement du temps. J’y vois le vent, des voiles ou des feuilles. Quelqu’un a tracé un chiffre, que je préfèrerais à l’envers (donc que je mettrai à l’envers : il suffira d’un geste du doigt pour que cela s’inverse). Et il reste un fragment du mot cinéma, seule trace minuscule d’un texte, mot (aussi) que je préfère lire à l’envers, ou ne plus pouvoir lire, qu’il n’y ait que les lettres, comme pour un graphe miniaturisé.
23:44 Publié dans Photographies/textes © MC SanJuan, Synchronicités.hasard | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hasard, création, images, street-art, fragments, imagination, symboles, du hasard dans la production artistique, august strindberg, jean-pierre sarrazac, agora, photographie, livres, culture