04/06/2019
"Paroles de sagesse éternelle"... "Épuise le champ du possible."
Ô mon âme, n’aspire point à l’Immortalité mais épuise le champ du possible.01/05/2019
"Le Maître de lumière", un voyage dans le silence "qui n’a pas de fin" et "redevient Parole primordiale"
"Le Maître de lumière" est le récit autobiographique du long itinéraire de transformation de Jean-Luc Leguay auprès d’un maître, moine italien, qui n'a de nom que celui-ci : Maître. Danseur chorégraphe, il devient, en dix ans, enlumineur initié. La maîtrise de son art passe par une métamorphose intérieure. Pour pouvoir saisir et transmettre cette géométrie sacrée qui structure une enluminure, et en fait une porte vers une dimension plus haute du réel, dans le respect du nombre d’or (comme, dit-il, pour une cathédrale).
En exergue, Saint Augustin ("Quelle plus belle fin pour nous que d’arriver au royaume qui n’a pas de fin.").. Pour dire ce qui sera nommé dans les dernières pages, plus ou moins "nommé" précisément. Car comment poser des mots sur ce qui est nourri par le silence ? La fin du livre, et la fin du chemin d’apprentissage, ce sera d’arriver à "ce qui sera à la fin sans fin" (Saint Augustin, l'exergue, encore).23:46 Publié dans ART.tous arts visuels, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, SPIRITUALITÉ.sagesses.mystique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le maître de lumière, maître, jean-luc leguay, enlumineur, enluminure, initié, initiation, illuminator, lumière, sacré, saint-augustin, géométrie sacrée, spiritualité, ascèse, main de lumière, gestes, heraclius a, silence, albin michel, dervy
25/04/2019
"Paroles de sagesse juive"..."Que l'homme ait toujours deux poches". Citation... et citations.
Que l’homme ait toujours deux poches.
16/04/2019
Notre-Dame qui brûle… Choc.
J’ai d’abord traduit cela ainsi :
Alors, après les images et les mots, besoin d’autres mots, réparateurs. Reprendre racine dans le sens profond, qui console de l’ignorance, de la peur de voir détruites des traces de culture et de spiritualité (murs et symboles). Notre tristesse dit l’attachement à un lieu qui fait partie de nous, et auquel nous appartenons aussi, en partage avec tant d’autres. (Exception
faite de ceux qui, il y en a et il y en a eu, ont besoin de ruminer de la haine : j’ai vu cela aussi, mais ce sont des marges
pathologiques, des névroses identitaires qui suent des phrases malodorantes et dysorthographiques - comme ces racialistes qui traînent à l’Unef et ailleurs...). Et, signes fraternels, des messages venus de partout, officiels et anonymes. J’ai été touchée de voir sur les pages Facebook algériennes ou marocaines (par exemple) des textes disant l’essentiel, des reproductions d’oeuvres d’art figurant la cathédrale, ou des citations de Victor Hugo. Émue par le beau message de Kamel Daoud sur ce que représente Notre-Dame (lieu d'art et de mémoire), et par les phrases des commentateurs algériens de sa page, exprimant leur émotion (sauf quelques grincheux, vite remis en place par les autres).08:20 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : notre-dame, paris, cathédrale, incendie, spiritualité, citations, sagesse, universel, kamel daoud, victor hugo, gérard de nerval, novalis, paroles de sagesse éternelle, albin michel, alain finkielkraut, françois cheng, jean-noël kapferer




















