28/08/2020
L'Intranquille 18, revue sous le signe de Pessoa. Et quelques livres de L'Atelier de l'agneau...
L’intranquille, c’est d’abord un nom, une référence qui met la publication "sous le signe de Pessoa". La revue de l’édition L’Atelier de l’agneau sera donc à l’affût des paroles exigeantes, venant de consciences questionnantes, dignes de l’héritage de Pessoa. Paroles traversant aussi les frontières. Beaucoup de traductions. Pour ce numéro 18, c’est l’allemand, le turc, l’espagnol (de Colombie et d’Espagne). Les textes sont bilingues, le plus possible.
Lisant j’ai commencé par les notes de lecture, quatre regards sur des publications.
23:44 Publié dans Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l’intranquille, l’atelier de l’agneau, françoise favretto, denis ferdinande, matthieu gosztola, jean-pierre bobillot, poésie, gérard jaulin, création, traduction, herta müller, anne kubler, özge sönmez, josé vidal valicourt, nicolas southon, camille bloomfield, risten sokki, louis-françois delisse, rasha habbal, fadwa souleimane, pierre peuchmaurd, jean terrossian, claire dumay, l'intranquille 18, citations
27/08/2020
"La France a une part d'Afrique en elle". Mémoire du débarquement de Provence, 15 août 1944
23:11 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées, PN.H.peuple.Camus | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : débarquement de provence, 15 août 1944, afrique, armée d’afrique, histoire, mémoire, provence, philippe lamarque, jacques robichon, hérodote
26/08/2020
POÉSIE. Les Cahiers du Sens N°30, Le silence. Et des livres associés...
En lisant la revue j’ai commencé par la fin, ou presque la fin, les voyages, puis les recensions. Notes de lecture de plusieurs intervenants. Les miennes, que je ne commenterai pas, sont le condensé de notes de blog trop amples pour la rubrique, et que j'ai donc résumées. Lecture de François Cheng et Patrick Le Bescont (Échos du silence), de Jean-Luc Leguay (Le Maître de lumière), et d’un numéro de Poésie première sur le silence. Je ne parlerai pas, là, non plus, de mon texte dans le dossier "Silence" (Déchiffrer ce qui lentement se déploie), ni de mes poèmes (je me contente d’en noter ici les titres : Des oiseaux… / L’apogée du parfum. (Et maintenant je ne m’occupe plus que des autres, notant et commentant). Mes publications, j’y reviendrai en automne... (Mise à jour 07-12-20. C'est fait. Deux mois après, j'ai repris mes trois textes (dont deux poèmes), et posé titres, exergues et fragments, tout en bas de la note...).
Quatre parties, dans la revue... Dont je change l'ordre.
Voyage... Lectures... Textes sur le silence, le dossier... Anthologie, poèmes.
23:04 Publié dans LIVRES, MC San Juan.(récents), Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, les cahiers du sens, silence, jean-luc maxence, danny-marc, spiritualité, éric desordre, jacqueline persini, maurice cury, marie-josée christien, bruno thomas, guy allix, frédérique kerbellec, annie coll, bernard renaud de la faverie, laurence cécile golan, frédéric vincent, claire dumay, jacques sommer, jean-françois migaud, liliane limonchik, bernard perroy, fanie vincent, quelqu’un, marie gatard, gérard mottet, monique leroux serres, didier ayres, pascal hermouet, bernard jakobiak, pascal mora, étienne orsini, catherine pont-humbert, charles watson, gabriel zimmermann, dominique zinenberg, le nouvel athanor, marcello-fabri, marcel louis faivre, marie-claude san juan, les cahiers du sens 30, citations
25/08/2020
POÉSIE. À L'INDEX - espace d'écrits, N° 40...
01:40 Publié dans Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : à l’index, le livre à dire, poésie, écriture, valeurs, jean-claude tardif, werner lambersy, yves barbier, jean-pierre chérès, mascha kaléko, jean-marc couvé, jacques nuñez-teodoro, gabriel mwènè okoundji, fabien sanchez, abdelkader djemaï, pierre mironer, dominique sampierro, kamel bencheikh, michel lamart, wilfred owen, andré prodhomme
24/08/2020
TRADUIRE. Un ENTRETIEN avec Sana Darghmouni, universitaire et traductrice
TRADUIRE. De soi au monde, une subversion...
Bilinguisme et métissage linguistique pour le dialogue des cultures. Seize questions à Sana Darghmouni, universitaire, traductrice, et revuiste (avec une équipe d’intellectuels italiens de Bologne) : site de littérature du monde La macchina sognante)
Avant-propos
La langue qu’on écrit fréquente toutes les autres.
Édouard Glissant, entretien, Le Monde, 2011
Interroger une traductrice, c’est passer de l’autre côté de la page traduite, et au-delà de l’acte de traduire, entrer, un peu, par des questions, dans la généalogie de ce qui fait que quelqu’un se voue à la transmission de textes d’une langue dans une autre. On accède, ainsi, aux moments qui précèdent la production, et d’abord à ceux qui précèdent même le travail. C’est-à-dire tout ce qui a prédéterminé la démarche de traduire, le contexte du rapport aux langues, les éléments personnels qui ont motivé le processus intérieur. Or la traduction étant une création elle n’appartient pas uniquement au domaine intellectuel. C’est lié à un espace intime de la pensée, à la voix, même pour rendre compte de la voix d’un autre (ou d’une autre). J’allais écrire au corps de la voix et cherchais comment soutenir cette idée d’ancrage physique qui, peut-être, peut sembler une formulation excessive. Et loin de ce texte, dans un autre temps de lecture, j’ai trouvé ce qu’en disait Jacques Ancet, immense traducteur autant que poète. Il notait ceci, dans L’amitié des voix, essai sur la traduction (publie.net) : « La traduction est un exercice d’incarnation : un corps pour un autre, une voix pour une autre ». Oui, et cela se situe aussi dans le cadre du rapport au monde, ce lieu de la rencontre de l’intime et du social.
02:04 Publié dans JE.écrire/écrire sur écrire © MC San Juan, TRADUCTION. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : traduction, traduire, langues, multilinguisme, sana darghmouni, la macchina sognante, bologne, italie, marie-claude san juan, édouard glissant, jacques ancet, line amselem, édouard pons, abdellatif laâbi, ashraf fayad, le scriptorium, josé ortega y gasset, andré markowicz, voltaire, pascale casanova, emily apter, paul ricœur
23/08/2020
La patience du feu. Poème dédié...
La patience du feu
Je lis un poème d'Erri De Luca,
dédié à un prisonnier.
Et, comme s'il regardait par la fenêtre dans sa cellule,
hors jours et lieux réels,
il le voit toucher un bout de bois,
de l'ongle et du temps.
15/08/2020
Ashraf Fayad, POÈTE toujours prisonnier en Arabie saoudite…
C’est une tragédie, comme l’Arabie saoudite en crée régulièrement, n’acceptant aucune pensée dissidente, ni même des ébauches de questionnements (pouvoir emprisonnant et exécutant aussi des adolescents et des femmes). Démocrates (hommes et femmes). Intellectuels voulant revendiquer la liberté de conscience et d'expression, ou simplement la vivre. Adolescents suivant une marche pour plus de liberté. Femmes refusant l’oppression des femmes (les réformes apparentes ne doivent pas faire illusion…). Tous sont réprimés. Jusqu’à la mort. Nombreuses exécutions…
23:14 Publié dans AUTEURS,blogueurs,journalistes.réprimés/menacés, pays.monde.identités, POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ashraf fayad, poète palestinien, instructions à l’intérieur, je vis des moments difficiles, arabie saoudite, liberté de conscience, liberté d’expression, poésie, valeurs, abdellatif laâbi, un peu de ciel et de poésie, valentina meloni, la macchina sognante, élégie du silence, ali al nimr, ali mohammed al nimr, raif badawi