23/06/2021
MILA. Harcèlement, "blasphème", laïcité, réactions… Et (mise à jour) geste du recteur de la mosquée de Paris
Avec la situation de Mila on est devant une affaire de harcèlement qui dépasse tout ce qu’on a pu voir de drames en relation avec de tels événements. Et pourtant il y a eu plusieurs faits ciblant des jeunes, parfois pour des raisons très banales (jalousie, fragilités des uns ou des autres, pulsions de groupes) et conduisant certains enfants ou adolescents à la dépression et plusieurs au suicide. Sans qu’il y ait menaces de mort on peut finir par tuer aussi. Mais dans le cas de Mila non seulement il y a eu menaces de mort mais il y a toujours menaces de mort. En nombre.19:42 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mila, harcèlement, blasphème, solidarité, laïcité, justice, richard malka, michel taube, jean-pierre sakoun, amine el khatmi, sophia aram, je suis le prix de votre liberté, blasphémateur, waleed al-husseini, islamisme, islam radical, liberté d’expression, m.p.c.t., livres, chems-eddine hafiz, mosquée de paris
22/06/2021
Tisseurs de paix... Israël/Palestine. Violences, guerre, initiatives de paix... et élections.
Beaucoup d’actualités dont je ne parlerai pas, ce serait vain - ou cela a déjà été traité antérieurement (tags, si recherche, et catégorie Actu…). 23:05 Publié dans ACTU/MÉMO.valeurs.idées, Israël-Palestine/tisseurs.de.paix | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, israéliens, palestiniens, juifs, arabes, paix, humanisme, livres, brice couturier, kamel bencheik, michel taube, david grossman, c.c.l.j., the times of israël, waleed al-husseini, izzeldin abuelaish, laurent couson, yasmina khadra, nos larmes ont la même couleur, je ne haïrai point, l’attentat, une femme fuyant l’annonce, blasphémateur, comme un veilleur attend la paix, émile shoufani, israël le voyage interdit, jean-pierre lledo
08/06/2021
QUARTIER du LIVRE... Un Salon du livre Paris 5ème, encore un jour...
Quartier livre, Paris 5ème. Encore un jour, ce mercredi 9.23:28 Publié dans POÉSIE, WEB..LIENS.sites.presse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livres, quartier du livre, éditions unicité, l’intranquille, l’atelier de l’agneau, éditions, poésie, art, les cahiers bleus
19/05/2021
Les Plaquettes À L’Index. Des livres où la poésie dialogue avec l’art visuel... Lire Pierre Rosin, Werner Lambersy, Jean-Claude Bourdet, Roberto San Geroteo, Jean-Claude Tardif, et…
Les Plaquettes/À L’Index, Le livre à dire (Jean-Claude Tardif). Parcours de quelques livres...23:14 Publié dans Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les plaquettes, à l’index, le livre à dire, pierre rosin, werner lambersy, jean-claude bourdet, roberto san geroteo, jean-claude tardif, michel lamart, otto ganz, sylvie basteau, léo verle, hervé delabarre, jean-michel marchetti, regard, art, poésie, citations, livres
06/05/2021
Parcours de quelques livres... Éditions Unicité. Lire Éric Desordre, Pascal Hermouet, Pascal Mora, Mohsen Marashi Pour, Éric Dubois...
D’abord, l’édition, car ce sont des livres qui sont tous publiés par les éditions Unicité (picorés sur quatre années, 2018 à 2021). Cette édition, qui n’a plus à prouver sa qualité, a été créée en 2010 par François Mocaër, écrivain engagé dans un itinéraire personnel qui donne sens à ses choix d’éditeur et au nom de son édition (voir la note précédente). Cela paraît très proche, 2010, alors que les traces concrètes des productions commencent à être assez nombreuses, et que l’aura dépasse la région parisienne, notamment par les auteurs qui viennent de toutes régions et d’au-delà des frontières, pour certains, comme le jeune philosophe iranien, dont je présente ici un ouvrage. Il a su pouvoir être compris là. Puisqu’il cherche à dépasser la dualité, toute pensée de séparation, même dans un contexte difficile.
Unicité, l’exergue en accueil sur le site explique ce que cela veut signifier. Une citation d’Albert Einstein, ce chercheur maître en rationalité mais ouvert à une compréhension du réel qui lui fait ressentir émerveillement devant ce qui est, dans ces moments, écrit-il, "où l’on se sent libéré de ses propres limites et imperfections humaines". Et… "Il n’y a qu’être", ajoute Einstein. Être. Voilà un mot qui aidera à comprendre les démarches des auteurs recensés aujourd’hui. Aucun n’est dupe de ses limites ou fragilités (la sagesse commence par la connaissance de nos "imperfections humaines"…). Mais aucun ne s’arrête là. Chez tous ce désir d’échapper à ce qui sépare d’autrui et de la possibilité de l’émerveillement, si on arrive à produire en soi la capacité de vivre de tels moments d’ouverture de conscience.
Autre chose est à noter. Certains sont photographes. Mais dans tous ces livres le regard est important. Savoir regarder le monde (le vivant, la nature, les choses), et les visages, les yeux, d’autrui. Les yeux, profondeur qui offre plus que la beauté. Le regard, comme celui d’Albert Einstein, "fixé en émerveillement sur la beauté froide et pourtant profonde et émouvante de ce qui est éternel, de ce qui est insaisissable". Lisez la citation complète en accueil sur le site.
Lien… http://www.editions-unicite.fr
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23:40 Publié dans POÉSIE, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : unicité, éditions unicité, françois mocaër, albert einstein, tu avanceras nu, éric desordre, passage à l’heure d’hiver, mosaïques, pascal hermouet, ce lieu sera notre feu, pascal mora, au-delà de mes pensées, mohsen marashi pour, poésie, citations, spiritualité, sagesses, livres, somme du réel implosif, éric dubois, michel cosem, encres vives, étienne ruhaud, le capital des mots
01/05/2021
Poésie. Deux recueils de François Mocaër. "On écrit avec le corps dès le signe d'un basculement vers la douleur". Et "Le don du silence est le diamant du vide"… Parcours, de 2003 à 2020.
J’ai inventé la nuit22:07 Publié dans POÉSIE, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, SPIRITUALITÉ.sagesses.mystique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françois mocaër, le don du silence est le diamant du vide, définitions de dieu, le chant de l’éveil, poésie, écriture, spiritualité, mystique, l’harmattan, unicité, philippe tancelin, michel camus, swami prajnanpad, maître eckhart, citations, on écrit avec le corps dès le signe d'un basculement vers...
28/04/2021
À L'Index n°42. Dossier Jean-Claude Pirotte...
ma vie est dans le livre / que je n’écrirai pas J-C. Pirotte, À Joie (citation choisie comme exergue à sa chronique, par Michel Lamart)
ce ne sont que poèmes / qui ont l’air de poèmes / et qui n’ont l’air de rien / car ils ne valent rien J-C.P., Je me transporte partout (exergue choisi par Christian Travaux pour son texte, L’A-poésie de Jean-Claude Pirotte dans Je me transporte partout)
Et c’est vrai que je suis moins attentif au sens qu’à la mélodie feutrée, aux articulations obscures du ton, aux assonances, aux dissonances du timbre. Souvent je pense qu’il suffirait de me laisser pénétrer ainsi pour qu’éclose en moi comme une réponse, un répons plutôt, et qu’enfin ma propre voix délivrée aille se mêler au chœur composé de toutes les voix qui m’enchantent. J-C.P. Rue des Remberges (fragment cité par James Sacré)
le saurons-nous jamais / nous n'apprenons à vivre // qu'avec le murmure et l’éclat / des pluies sur les toits à lucarnes J-C.P. Passage des ombres (mon choix, cette dernière citation en exergue...)
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La raison de cette note ? Faire lire la revue, ce numéro d'À L'Index, dédié au poète Jean-Claude Pirotte (décédé en 2014). Et donner envie d’aller ouvrir, ensuite, le volume de la collection Poésie/Gallimard ou le recueil final, Je me transporte partout (Le Cherche Midi).
J’ai donc lu la revue. Un poète lu par des poètes… Mais, aussi… Un homme lu par des hommes. Effectivement, à la lecture de ce beau numéro d’hommage (beau et très riche, par la qualité des commentateurs), impression d’entrer dans un univers très masculin, de manquer de certaines clés (de ce fait). Sans doute eux ne le voient pas ainsi. J'ai su que Sylvie Doizelet, qui fut sa compagne, n'avait pu répondre à l'invitation à participer au numéro d'hommage. Pour compenser je renvoie vers elle par deux liens en fin de note (elle a préfacé le recueil de Poésie/Gallimard). Les clés qui manquaient, j'ai fini quand même par les avoir, grâce à la complexité des regards, et aux nombreuses citations.
La deuxième impression vient du visage de Jean-Claude Pirotte. D’abord la photographie au chapeau, prise par Jean Pol Stercq. On voit surtout le sourire de la bouche et des yeux, de quelqu’un qui a dû inspirer amitiés et tendresses (ce que les chroniqueurs expriment souvent dans leurs hommages). Deux autres photographies (archives privées) témoignent de moments simples - partages, convivialité. Les portraits dessinés (d’Henri Cachau et Jean-Michel Marchetti) capturent autre chose. Un peu les yeux, mais une attitude du corps, une expression, comme de retrait en soi, une tristesse peut-être, un déchirement. Et, toujours, la cigarette, ou le verre de vin. La cigarette qui a fini par le tuer, et le vin qui rendit difficiles parfois la rencontre (comme c’est dit par certains, qui préfèrent témoigner autant de la vérité complexe et des fragilités d’un être que de l’admiration qu’ils éprouvent pour le même être, homme et poète).
21:08 Publié dans Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : à l’index, le livre à dire, jean-claude pirotte, à joie, je me transporte partout, passage des ombres, poésie, livres, citations, jean-claude tardif, michel lamart, christian travaux, james sacré, sylvie doizelet, jean pol stercq, henri cachau, jean-michel marchetti, gilles grosrey, werner lambersy, carl norac, claude andrzejewski, michaël glück, philippe claudel, à l'index 42
22/04/2021
Lecture de Roland Chopard. "Parmi les méandres/Cinq méditations d'écriture"
Écrire sans subterfuges et avec le désir de transgresser certains usages mêmes de la littérature: telle serait aussi la constance de la démarche.21/04/2021
AUDISIO poète, suite. Deux recueils : De ma nature et Poème de la joie...
De ma nature, Rougerie, 197700:47 Publié dans AUDISIO Gabriel, POÉSIE, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, work.in.progress | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gabriel audisio, audisio, de ma nature, poème de la joie, poésie, lucrèce, de natura rairont, nature, vie, mort, éthique
20/04/2021
Gabriel Audisio. Ulysse ou l’intelligence...
Dans l’avertissement ouvrant Ulysse ou l'intelligence, Gabriel Audisio prévient. "Ce livre est composé à sa manière, qu’on trouvera peut-être bizarre. Le lyrisme et érudition l’animent tour à tour. C’est qu’il part d’une expérience personnelle pour aboutir à des généralisations abstraites. Le moi est ici la condition du nous." Il annonce aussi qu’il y aura des reprises, qu’il reviendra sur des sujets pour y porter un autre regard, une autre "dialectique". Et il qualifie déjà les thèmes attachés à Ulysse. D’une part la notion de "génie méditerranéen", d’autre part "l’homme universel". L’aboutissement de l’essai est donné aussi, où Ulysse sera le "héros de l’intelligence" dont la Méditerranée est l’espace nécessaire, et, même, "la condition".23:44 Publié dans AUDISIO Gabriel, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, work.in.progress | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gabriel audisio, audisio, ulysse ou l’intelligence, ulysse, méditerranée, homère, sophocle, dante, livres, littérature
17/04/2021
Recension. Lignes de crête, de Michel Diaz
Cette recension était prévue, j’apprécie de la relier à mon parcours de la revue Saraswati, où Michel Diaz est présent (note précédente).21:57 Publié dans POÉSIE, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : michel diaz, lignes de crête, walter benjamin, friedrich hölderlin, claude cahun, alejandra pizarnik, poésie, alcyone, saraswati, silvaine arabo, le verger abandonné, ulysse, david le breton, alain freixe
16/04/2021
Saraswati 16. Les saisons en poésie...
en ce crépuscule très bleu d’avril, entre toi et le temps, ces questions : est-ce l’instant qui passe et te traverse ou est-ce toi, poussé toujours au dos, le passant d’un instant immobile ? 11:01 Publié dans LIVRES, MC San Juan.(récents), Recensions.REVUES.poésie.citations.©MC San Juan | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : saraswati, saisons, alcyone, silvaine arabo, poésie, citations, michel diaz, miguel Àngel real, jean-louis bernard, annick le scoëzec, federico garcia lorca, colette klein, pierre esperbé, marc-henri arfeux, francis gonnet, Ève eden, lionel balard, alain tigoulet, claire berthouin, georges cathalo, jean-claude tardif, marie-claude san juan
01/04/2021
École d’Alger littéraire : initiateurs, contexte, héritage...
On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d'Alger pour apprendre à marcher
Être né quelque part
Être né quelque part, pour celui qui est né
C'est toujours un hasard Né quelque part, 1988, Maxime Le Forestier (né à Paris, lui)
.
J’ai régulièrement besoin, comme homme et comme écrivain, de me retourner vers ce paysage. Par lui je me rapatrie. Jean Pélégri, Ma mère l’Algérie
Elle cherche partout une partie d’elle-même, un frère, une sœur, une herbe d’Algérie, un bleu (…), une odeur d’Afrique. Marie Cardinal, Écoutez la mer
Douleurs d’exil…
Mais en prolongement de ces rencontres de lecture, des proximités se révèlent ou s'affirment, qui ne concernent pas que les auteurs francophones algériens et pieds-noirs du passé, d’avant 62, mais bien des publications des écrivains algériens d’après 62. Cela s’accentue avec les exilés des années 90. Car les expériences ont des points communs. Comme le montre le dessinateur Gyps, dans une page humoristique et un peu triste (publiée par la revue Algérie Littérature Action n°9, 1997). Il la titre ainsi : 1993 : Algérie comme en 62 (il dessine et nomme, écrit : terrorisme, "la valise ou le cercueil", l’exil, les conditions de survie en France…). Les natifs d’Algérie, d’où qu’ils viennent (et surtout s’ils écrivent) ne se comprendront pas complètement eux-mêmes s’ils ne lisent pas les auteurs de l’autre rive, restés ou exilés. Et ils s’apercevront qu’ils sont lus aussi, et souvent compris. Sur les deux rives il y a haineux et humanistes, fanatiques et penseurs complexes. Une fracture chez tous, la même d’un bord à l’autre de la Méditerranée : les camusiens et les autres (qui n’ont pas toujours lu…). Cette compréhension de soi par la lecture de 'l’autre' c’est valable de chaque côté. Benjamin Stora, dans une chronique de la revue de chercheurs en littérature, Expressions maghrébines, numéro de 2003 sur l’Histoire, parle d’une "connivence" qu’il a étudiée dans des écrits de femmes algériennes et pieds-noirs, à partir du parcours d’une centaine de livres. Voilà ce qui aurait pu rendre Gabriel Audisio heureux. Et Feraoun, Roy, Amrouche, Pélégri, Dib, Camus, Roblès, Cardinal, Sénac. Et, je crois, Chouaki, et quelques autres... 23:39 Publié dans ALGERIE/Algériens.hist.mémo.culture, PN.H.peuple.Camus, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, WEB..LIENS.sites.presse, work.in.progress | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : algérie, littérature, école d’alger, libéraux d’algérie, culture, exil, fraternité, humanisme, mémoire, racines, citations, poésie, gabriel audisio, edmond charlot, albert camus, emmanuel roblès, mouloud feraoun, mohammed dib, jean amrouche, jean pélégri, marie cardinal, rené-jean clot, jeanine de la hogue, jules roy, kaouther adimi, albert memmi, jean sénac, tahar djaout, rené sintès, jean-pierre péroncel-hugoz, kamel abdou, jamel-eddine bencheikh, abdelmadjid kaouah, emmanuel lévinas, saïd kessal, josé lenzini, guy dugas, ahmed azeggah, aziz chouaki, tony gatlif, benjamin stora, livres, bibliographies, anthologies
22/03/2021
Gabriel Audisio, ou Ulysse poète...
Mon pays,……………………………………………....................
00:03 Publié dans AUDISIO Gabriel, POÉSIE, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, work.in.progress | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gabriel audisio, audisio, poésie, misères de notre poésie, racine de tout, livres, citations, louis branquier, henri bosco, jules roy, francis ponge, jean pélégri, edmond charlot, aux vraies richesses, ulysse
27/02/2021
Gabriel Audisio, l’ancêtre principal… Méditerranée, Algérie
Pour commencer une série de réflexions provoquées par les débats actuels, qui réactivent des thèmes liés à l’identité culturelle, aux mémoires et à l’Histoire, une note sous le signe de Gabriel Audisio et de la littérature. ………………………................
SOMMAIRE, suite…
. Recension, Feux vivants, 1958
. Recension, L’opéra fabuleux, 1970
. Ulysse ou l'intelligence, 1945. LIEN vers la recension (note qui suit...).
. Textes DE Gabriel Audisio, citations : essais, roman, récit (prose méditative)
. Textes SUR Gabriel Audisio, citations
. Échos. Pensée de la Méditerranée… Réflexion, puis citations (de Jean Grenier, Fernand Braudel, Jacques Huntzinger, Henry Laurens).
. Bibliographie sélective...
. Liens vers des documents précieux (notes, critiques, entretien, études...)
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22:45 Publié dans ALGERIE/Algériens.hist.mémo.culture, AUDISIO Gabriel, PN.H.peuple.Camus, Recensions.LIVRES.poésie.citations©MC.San Juan, work.in.progress | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gabriel audisio, audisio, taos amrouche, jules roy, kamel daoud, littérature, méditerranée, algérie, hocine aït ahmed, messali hadj, humanisme, l’opéra fabuleux, feux vivants, pages de gabriel audisio, revue sud, sud, école d’alger, citations, valeurs, fraternité, livres, mémoire, oubli




















